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De l'année à l'année
Sans mise en forme











La région Navarre est mentionnée dans la ou les cartes ci-dessous



Espagne du nord-ouest

Bataille d'Alcama

Pélage le Conquérant Roi des Asturies

En 718, le Wisigoth Pélage le Conquérant (Pelayo) à la tête des troupes chrétiennes remporte sur les Maures la victoire à la Bataille d'Alcama, aux Asturies. Son fils Favila l'accompagne et combat à ses côtés contre les musulmans.

Pélage chasse le gouverneur musulman Muzuna, puis fixe sa capitale à Cangas de Onís.

Encore aujourd'hui, les infants de la famille royale porte le titre de princes des Asturies.


Formation de l'Empire Carolingien

Soumission de l'Aquitaine, du Languedoc et de la Gascogne

Guillaume Ier de Gellone Duc d'Aquitaine

Guillaume Ier de Gellone est un des meilleurs lieutenants de Charlemagne lorsqu'il conquiert l'aquitaine.

Guillaume Ier de Gellone devient Duc d'Aquitaine.

Hunald II, fils de Waïfre, tente de soulever l'Aquitaine contre Charlemagne, et Loup II de Gascogne lui donne refuge en 769.

Carloman Ier de Francie refuse à Charlemagne son aide pour soumettre les Aquitains. Qu'à cela ne tienne, Charles règle leur compte aux Aquitains et par la même occasion s'empare de la Gascogne, au sud de la Garonne.

Loup II est obligé par Charlemagne de lui livrer le fugitif.

Charlemagne bâtit la forteresse de Franciacum (Fronsac vers l'embouchure de la Dordogne).

Tassilon III de Bavière n'aide pas Charlemagne dans sa lutte contre les Aquitains. Tassilon obtient du pape que son fils, Théodon, reçoive l'onction royale.


Campagne des Francs au delà des Pyrénées Roncevaux

Campagne des Francs au delà des Pyrénées

Bataille du col de Roncevaux

Mort de Lambert de Bourges

Au printemps 778, parti de Chasseneuil au confluent du Lot et de la Garonne, Charlemagne se rend en Espagne avec une armée considérable et puissante. Les Francs passent les Pyrénées pour la première fois sans la moindre difficulté, les Basques, soumis en apparence mais alliés des Aquitains, n'étant pas assez forts pour attaquer.

L'une des armées franques s'installe à Pampelune, l'autre, à l'est, s'empare de Barcelone et Gérone.

Pendant ce temps, Soliman ben Alarabi prend Saragosse. Gérone et Barcelone se rendent aussi.

Charlemagne marche alors vers Saragosse afin de rejoindre Soliman ben Alarabi et de regrouper les armées.

Mais Soliman ben Alarabi change subitement de camp, si bien que Charlemagne ne peut prendre la ville.

Le roi rencontre en Espagne une situation très différente de celle qu'il imaginait. Les chrétiens, comme dans tout pays musulman, ont un statut de protégé (dhimmi en arabe) qui les oblige à payer de lourdes taxes. Mais ils ne sont pas pour autant en rébellion ouverte contre les occupants et ces derniers, très minoritaires, se montrent plus ou moins accommodants avec leurs sujets. Difficile dans ces conditions de se présenter en libérateur.

L'émir Abd Al-Rahman Ier monte à la rencontre des Francs avec son armée.

Charlemagne apprend que Widukind Ier de Saxe s'approche du Rhin.

Charlemagne ne peut pas faire le siège de Saragosse.

Il n'a plus qu'une hâte : se sortir du guêpier espagnol et repartir vers la France et vers les Saxons.

Charlemagne lève alors le siège et reprend le chemin de Pampelune avec des otages musulmans, qui sont libérés par un coup de main à l'entrée de la Navarre.

Par représailles, l'armée de Charlemagne rase les remparts de Pampelune.

Charlemagne reprend le chemin du nord.

Au passage des Pyrénées, les hommes et les bêtes empruntent en file indienne des cols aux pentes escarpées.

Le 15 août 778, pour se venger des destructions de Pampelune, les Basques tendent une embuscade à l'armée de Charlemagne de part et d'autre du col de Roncevaux.

Ils pillent une colonne de ravitaillement, à l'arrière-garde de l'armée, et se dispersent aussitôt.

Charlemagne, averti trop tard, ne peut rien faire.

Dans cette bataille, Charlemagne perd :

La Chronique des ducs de Brabant nous dit que Lambert de Bourges, paladin de Charlemagne, meurt lors de cette bataille.

Il est inhumé à Saint-Seurin, où l'on trouve les sépultures des Français morts à Roncevaux.

Selon la Chanson de Roland, Íñigo Ximenes Arista et Inigo II Iniguez Arista, son fils âgé de 7 ans, aurait été présents à Roncevaux.

Charlemagne se résout à remettre à plus tard le châtiment des Basques, d'autant plus que Abd Al-Rahman Ier, l'émir de Cordoue, tue Soliman ben Alarabi et reprend Saragosse et Barcelone.

La première Marche d'Espagne des Francs est un échec.

Cet incident est signalé dans les Annales royales, chronique du règne de Charlemagne, et dans la biographie de ce dernier par le moine Eginhard : Vita Caroli Magni.

Il faudra attendre 300 ans avant que les troubadours, poètes itinérants, se saisissent de cet événement pour lui donner une dimension épique, donnant naissance au plus célèbre poème de la littérature médiévale : la Chanson de Roland.


Espagne en 900

Abdication de Fortun Garcés Ier de Navarre

Sancho Ier Garcés de Navarre Roi de Pampelune

Fortun Garcés Ier de Navarre abdique en 905.

En 905, Sancho Ier Garcés de Navarre devient Roi de Navarre.


La France vers 987

Domaine du Roi de France

Le royaume sur lequel règne Hugues Capet s'étend sur la partie occidentale des régions occupées par les Francs, de la Manche à la Meuse.

Il correspond en gros au Bassin parisien.

Hugues Capet est, à la veille de son élection à la royauté, le prince le mieux pourvu du royaume :

Ces vastes domaines autour de Paris et Orléans, ses vassaux et sa brillante parentèle en font l'un des principaux seigneurs de Francie occidentale.

Il s'agit de seigneuries laïques et d'abbayes.


La France vers 995

Guerre entre Eudes Ier de Blois et Foulques III Nerra

Siège du château de Langeais

En 995 la guerre reprend entre Eudes Ier de Blois et Foulques III Nerra, soutenu par le Roi de France, qui prend l'initiative en Touraine.

Foulques III Nerra construit une forteresse à Langeais (peut être le premier château en pierre du Moyen Age) et y installe une garnison.

Eudes Ier de Blois parvient à créer une alliance qui réunit :

Les Aquitains en particulier sont inquiets de la pénétration accrue de Foulques III Nerra en Poitou.

Adalbert Ier de la Marche fait partie de cette alliance.

Pendant l'hiver 995-996, Eudes Ier de Blois met le siège devant le château de Langeais, où s'et enfermé Foulques III Nerra.

L'arrivée d'Hugues Capet au secours de Foulques III Nerra prend à revers Eudes Ier de Blois qui réclame une trêve.

Foulques III Nerra garde Langeais et renforce ses positions à l'approche de Tours, objectif de sa politique.

Selon le chroniqueur Adhémar de Chabannes, Adalbert Ier de la Marche, refuse de lever le siège.

Hugues Capet lui demande :

et l'autre de répliquer :


La France en 1030

Mort de Guillaume V d'Aquitaine Duc d'Aquitaine, Comte de Poitou

Guillaume VI le Gros Comte de Poitou

Guillaume VI le Gros Duc d'Aquitaine

Guillaume V d'Aquitaine meurt à l'abbaye de Maillezais en Vendée le 31 janvier 1030.

Guillaume V d'Aquitaine, cultivé et pieux, a un règne pacifique, mais n'a pas de qualités d'homme de guerre.

Guillaume VI le Gros, fils de Guillaume V d'Aquitaine, devient :


La France en 1030

Mort de Guillaume V d'Aquitaine Duc d'Aquitaine, Comte de Poitou

Guillaume VI le Gros Comte de Poitou

Guillaume VI le Gros Duc d'Aquitaine

Guillaume V d'Aquitaine meurt à l'abbaye de Maillezais en Vendée le 31 janvier 1030.

Guillaume V d'Aquitaine, cultivé et pieux, a un règne pacifique, mais n'a pas de qualités d'homme de guerre.

Guillaume VI le Gros, fils de Guillaume V d'Aquitaine, devient :


Espagne en 1080

Exil de Rodrigo Díaz de Bivar

Pour avoir enfreint la paix du roi, Alphonse VI de Castille accuse Rodrigo Díaz de Bivar plus ou moins directement d'avoir participé à l'assassinat de Sanche II le Fort. Rodrigo Díaz de Bivar est exilé en 1081.

Il parcourt l'Espagne orientale, offrant ses services aux princes chrétiens comme musulmans.

Rodrigo Díaz de Bivar sert d'abord le roi de Saragosse,


Espagne en 1150

Prise de Huete et de Consuegra

En 1150, Alphonse VII le Bon, Roi de Castille, fait la conquête de Huete, puis de Consuegra.


Carte de l'Europe en 1200

Situation vers 1200

Interdit sur le royaume de France

Naissance de Philippe Ier Hurepel de France

Cérémonie de réconciliation entre Philippe II Auguste et Ingeburge de Danemark

Souhaitant affirmer son autorité, Innocent III entend confirmer la condamnation de l'annulation du mariage de Philippe II Auguste et Ingeburge de Danemark.

Il enjoint à Philippe II Auguste de renvoyer Agnès de Méranie et de rendre sa place à Ingeburge de Danemark.

En l'absence de réaction de Philippe II Auguste, l'interdit est lancé sur le royaume de France à partir du 13 janvier 1200, entraînant la suspension de toutes les activités du clergé.

Philippe II Auguste laisse toutefois la cause en suspens, Ingeburge de Danemark reste captive, désormais dans la tour d'Étampes.

Philippe Ier Hurepel de France naît à Poissy en juillet 1200, fils de Philippe II Auguste, Roi de France, et d'Agnès de Méranie.

Philippe II Auguste finit par se soumettre et fait mine de faire revenir Ingeburge de Danemark à la cour. Il organise finalement une cérémonie de réconciliation.

Lors d'une assemblée tenue le 7 septembre 1200 au château de Saint-Léger à Nesle, il annonce que l'interdit est levé.

Mais il enferme Ingeburge de Danemark à Dourdan et reste auprès d'Agnès de Méranie.

La procédure d'annulation du mariage se poursuit, Philippe II Auguste étant désormais bigame.


Carte de l'Europe en 1200

Situation vers 1200

Interdit sur le royaume de France

Naissance de Philippe Ier Hurepel de France

Cérémonie de réconciliation entre Philippe II Auguste et Ingeburge de Danemark

Souhaitant affirmer son autorité, Innocent III entend confirmer la condamnation de l'annulation du mariage de Philippe II Auguste et Ingeburge de Danemark.

Il enjoint à Philippe II Auguste de renvoyer Agnès de Méranie et de rendre sa place à Ingeburge de Danemark.

En l'absence de réaction de Philippe II Auguste, l'interdit est lancé sur le royaume de France à partir du 13 janvier 1200, entraînant la suspension de toutes les activités du clergé.

Philippe II Auguste laisse toutefois la cause en suspens, Ingeburge de Danemark reste captive, désormais dans la tour d'Étampes.

Philippe Ier Hurepel de France naît à Poissy en juillet 1200, fils de Philippe II Auguste, Roi de France, et d'Agnès de Méranie.

Philippe II Auguste finit par se soumettre et fait mine de faire revenir Ingeburge de Danemark à la cour. Il organise finalement une cérémonie de réconciliation.

Lors d'une assemblée tenue le 7 septembre 1200 au château de Saint-Léger à Nesle, il annonce que l'interdit est levé.

Mais il enferme Ingeburge de Danemark à Dourdan et reste auprès d'Agnès de Méranie.

La procédure d'annulation du mariage se poursuit, Philippe II Auguste étant désormais bigame.


Espagne en 1300

Sentence arbitrale de Torrellas

Le Traité de Torrellas ou Sentence arbitrale de Torrellas est un accord signé en 1304 entre Jacques II le Juste et Ferdinand IV l'Ajourné dans cette cité de la région de Saragosse après la conquête du Royaume de Murcie par Jacques II le Juste.

Dans cet accord, on fixe de nouvelles frontières entre la Couronne d'Aragon et le Royaume de Castille.

L'accord signifie la paix entre les deux rois, et la remise à la Castille de la majeure partie du Royaume de Murcie, conquis antérieurement.

Les cités d'Orihuela, d'Elche, de Caudete, d'Elda et d'Alicante passent du Royaume de Murcie à celui de Valence.

Dans le cadre de ce Traité, Alphonse le Déshérité accepte d'abandonner toutes ses réclamations sur le trône de León.

En retour, Alphonse le Déshérité est nommé Seigneur d'Alba, de Bejar et de Gibraleón, et d'autres seigneuries.

Ses possessions et ses revenus sont répartis sur tout le territoire de Castille et de León, afin qu'il ne puisse pas former un grand empire indépendant.


Le duc René II d'Anjou à la tête de ses troupes suisses devant la ville de Saint-Dié -Liber Nanceidos - Pierre de Blarru, 1519 Antoine dit le Grand Bâtard de Bourgogne La France en 1477

Bataille de Nancy

Olivier de la Marche Prisonnier

Mort de Charles le Téméraire

Mort de Claude de Dinteville Seigneur de Commarin et d'Échenay en Haute-Marne

Antoine de Bourgogne Prisonnier

Charles le Téméraire se replie sur Dijon où il commence à lever de nouvelles troupes et à équiper sa nouvelle armée.

René II d'Anjou, ne reste pas inactif. La Confédération Suisse ne souhaite pas intervenir, mais l'autorise à engager 9 000 mercenaires, ce qu'il fait, financé par Louis XI. Huit mille soldats alsaciens le rejoignent également. Le lieu de regroupement des armées est fixé à Saint-Nicolas de Port.

Un détachement bourguignon envoyé en éclaireur le 2 janvier 1477 est surpris et taillé en pièces.

Le Comte de Campobasso et ses troupes se rallient au Lorrain le 4 janvier 1477. C'est une armée de 19 à 20 000 hommes qui se rassemble.

Charles le Téméraire, apprenant l'arrivée prochaine de l'armée de René II d'Anjou, prend position sur une éminence à proximité de Jarville. Malgré la défaite de Morat, où il avait été attaqué sur son flanc, Charles le Téméraire néglige la protection de son côté droit, qui est sur la lisère du bois de Saurupt.

Avant l'aube du dimanche 5 janvier 1477, René II d'Anjou quitte Saint-Nicolas de Port. Son armée avance dans la campagne lorraine recouverte de neige.

À Laneuveville, des éclaireurs repèrent un guetteur bourguignon et le tuent.

Désormais, Charles le Téméraire ne sait rien de l'armée qui arrive.

Les capitaines et René II d'Anjou, sur les rapports des éclaireurs décident de contourner l'armée bourguignonne par le bois de Saurupt pour l'attaquer de flanc.

Pour donner le change, ils envoient un petit détachement, commandé par Vautrin Wisse, par la route de Nancy à Saint-Nicolas de Port.

L'effet de surprise est total et le sort de la bataille se joue en quelques minutes.

Josse de Lalaing reçoit le premier assaut, est grièvement blessé et meurt.

Jacques Galleotto, blessé, s'enfuit avec ses troupes le long de la Meurthe, la traverse au gué à Tomblaine et s'enfuit vers le nord.

Charles le Téméraire tente de se tourner contre l'assaillant, mais le gros de ses troupes se disloque et s'enfuit.

Campobasso tient le pont de Bouxières-aux-Dames, au nord de Nancy, et massacre l'armée bourguignonne qui tente de fuir vers Metz, se contentant de ne faire prisonnier que les seigneurs importants, dont Olivier de la Marche.

Alors qu'il pourchasse les fuyards de son armée, Charles le Téméraire trouve la mort.

Il est vraisemblablement assassiné par l'un de ses généraux, le condottiere napolitain Campobasso qu'il avait insulté auparavant.

Claude de Dinteville meurt aux côtés de Charles le Téméraire.

Les défenseurs de la ville font une sortie et pillent le camp bourguignon.

Ce n'est que le lendemain, sur les indications de Baptiste Colonna, un page du duc de Bourgogne qui l'avait vu tomber à proximité de l'étang Saint-Jean, que Charles le Téméraire est retrouvé et identifié. Son corps est défiguré et à moitié dévoré par les loups.

Une croix sera posée pour marquer le lieu de la mort du Téméraire. Ce lieu se trouve actuellement place de la Croix de Bourgogne.

Charles le Téméraire est inhumé à la collégiale Saint-Georges.

Devant le numéro 30 de la Grand-Rue à Nancy, une indication 1477 sur les pavés indique l'emplacement où le corps du Téméraire fut déposé avant son inhumation.

En souvenir de la défaite du Téméraire, la ville adopte comme emblème le chardon et comme devise non inultus premor (nul ne s'y frotte, ou qui s'y frotte s'y pique)

Antoine de Bourgogne est fait prisonnier à la bataille de Nancy.

Louis XI demande instamment à René II d'Anjou, Duc de Lorraine, de lui céder le prisonnier.

Antoine de Bourgogne prie René II d'Anjou de ne pas le livrer au plus implacable ennemi de sa maison, et lui offre une rançon considérable.

René II d'Anjou le conduit lui-même au monarque français, qui l'achète pour la somme de 10 000 écus.

Mais, à l'étonnement de toute l'Europe, il le comble d'honneurs et de biens, espérant se l'attacher.

En effet, Antoine de Bourgogne le sert avec zèle.


La France en 1477

Campagne en Artois, Boulonnais, Hainaut, Picardie

Siège de Bouchain

Mort de Tanneguy du Chastel

De janvier à juin 1477, dès l'annonce et la confirmation de la mort de Charles le Téméraire, Louis XI envahit aussitôt :

au détriment de Marie de Bourgogne, la fille de Charles le Téméraire.

Louis XI annexe le Comté d'Eu.

Le 15 janvier 1477, Louis de Bourbon, l'amiral de Bourbon, franchit la Somme et envahit l'Artois et la Picardie

Tanneguy du Chastel, passé au service du roi Louis XI, meurt en 1477 au siège de Bouchain près de Valenciennes. Louis XI le fait inhumer à Notre-Dame de Cléry.

Georges II de La Trémoïlle, Sire de Craon, envahit la Bourgogne et la Franche-Comté.

Dijon est assiégé par :

La France menace d'envahir ensuite les fiefs néerlandais.

Louis XI châtie durement les villes et les hommes qui avaient soutenu le duc de Bourgogne. Il détruit les murailles d'Arras en 1477.


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