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Événements contenant la ou les locutions cherchées



6 événements affichés, le premier en 1535 - le dernier en 1590



Naissance d'Antoine de Clermont d'Amboise

Antoine de Clermont d'Amboise naît vers 1535, fils de René de Clermont (mort en 1540), Seigneur de Saint-Georges, et de Françoise d'Amboise (vers 1514-1556), Dame de Renel.



Mariage de Claude de Savoie avec Françoise de Foix-Candale

Claude de Savoie épouse le 19 août 1539 Françoise de Foix-Candale, fille de Jean de Foix-Candale, Comte de Gurson et de Fleix. Leurs enfants sont :



Mariage d'Antoine de Clermont d'Amboise avec Jeanne de Longuejoue

Antoine de Clermont d'Amboise épouse Jeanne de Longuejoue, Dame d'Iverny. Leurs enfants sont :


Surprise de Meaux - Enluminure du manuscrit Carmen de tristibus Galliae - 1577 - Bibliothèque municipale de Lyon - ms 0156 - fo 13 Michelade de Nîmes

Deuxième guerre de religion

La surprise de Meaux

Michelade de Nîmes

Bataille de Saint-Denis

Mort d'Anne de Montmorency

Mort de François Artaud de Montauban d'Agoult Gouverneur du Lyonnais, Forez et Beaujolais

Mort de Claude de Batarnay Baron d'Anthon

François de Montmorency Duc de Montmorency

Henri III de France Lieutenant général

Sentant monter les périls, Louis Ier de Bourbon-Condé décide de monter une action préventive malgré les réserves de Gaspard II de Coligny.

Prenant prétexte que le roi de France est menacé par les Italiens qui envisagent de le capturer, Louis Ier de Bourbon-Condé, François Ier de Coligny-d'Andelot et Renée de Rieux font investir, le 28 septembre 1567 le château de Monceaux en Brie ou Montceaux-les-Meaux, près de Meaux pour s'emparer de la personne de Charles IX de France.

Celui-ci et Catherine de Médicis, sa mère, ne parviennent à échapper aux protestants que d'extrême justesse et peuvent s'enfuir à Meaux puis gagner Paris.

Jacques de Savoie-Nemours commande les Suisses qui ramènent Charles IX de France à Paris.

Cette opération extravagante que l'histoire a retenue sous le nom de Surprise de Meaux ou Poursuite de Meaux est de nouveau le prétexte au déclenchement de nouvelles violences.

On range toute l'infanterie française en 6 régiments dont 3 sous les ordres de Timoléon de Cossé, colonel général de là les monts.

Dans le Midi, les protestants s'emparent de plusieurs villes, notamment Nîmes, où une vingtaine de catholiques sont tués le 30 septembre 1567, lors de la Saint-Michel, d'où le nom de "Michelade" donné à ce massacre.

L'armée de Louis Ier de Bourbon-Condé avec Gaspard II de Coligny assiège la capitale.

Le connétable Anne de Montmorency tente une sortie à Saint-Denis, le 10 novembre 1567, combat au cours duquel il est mortellement blessé d'un coup de fusil dans le dos.

Participent à cette bataille :

Odet de Coligny combat pour les protestants lors de cette bataille.

René de Rochechouart participe à cette bataille.

Antoine de Clermont d'Amboise signale sa valeur dans le parti protestant dans cette bataille.

François Artaud de Montauban d'Agoult meurt tué les armes à la main lors de cette la bataille dans la cavalerie du prince de Condé.

Artus de Cossé-Brissac se distingue dans l'armée catholique lors de cette bataille, à la tête d'un corps de cavalerie.

Timoléon de Cossé sert à la tête de ses 3 régiments lors de cette bataille.

Participent à cette bataille dans l'armée catholique :

Guillaume V de Hautemer obtient une compagnie d'ordonnance et devient chevalier de l'ordre de Saint-Michel.

Claude de Batarnay meurt lors de cette bataille.

Jacqueline de Montbel, son épouse, se réfugie chez Beatriz de Silva, sa mère, au château de Saint-André de Briord.

Anne de Montmorency meurt le 12 novembre 1567.

Henri III de France, alors duc d'Anjou, lui succède à la tête de l'armée royale dont il est nommé lieutenant général.

François de Montmorency devient Duc de Montmorency.

Les protestants se replient alors et se portent vers Chartres.

François de Montmorency participe à ce combat coté catholique et François III de la Noue coté protestant.

Jacques de Savoie-Nemours est chargé de s'opposer à l'entrée des troupes que Wolfgang de Bavière, duc de Deux-Ponts, envoie aux protestants.

Jacques de Savoie-Nemours échoue dans cette expédition par la faute du duc d'Aumale, son rival, et se retire dans son duché de Genève, où il se livre à la culture des lettres et des arts.


Le Massacre de la Saint-Barthélemy - d'après François Dubois Le massacre de la Saint-Barthélemy par Giorgio Vasari - 1572-1573 - Sala Regia au Vatican Assassinat de Briou - gouverneur du Prince de Conti - 24 août 1572 - par Robert-Fleury Joseph Nicolas (1797-1890) - Paris - musée du Louvre

Massacre de la Saint-Barthélemy

Mort de Pierre de Salcède

Mort d'Antoine de Clermont d'Amboise Marquis de Reynel

René de Birague semble être un des inspirateurs du massacre de la Saint-Barthélemy.

Au petit matin, le dimanche 24 août 1572, le peuple, découvrant le massacre, se met à pourchasser les protestants dans toute la ville.

Le massacre dure dans la capitale plusieurs jours, malgré les tentatives du roi pour le faire arrêter.

Les étudiants étrangers, les libraires, les changeurs sont massacrés par le peuple, encouragé par les prêtres.

Les cadavres sont jetés dans la Seine.

Celui de Gaspard II de Coligny, retrouvé par la foule, est émasculé, plongé dans la Seine, avant d'être pendu au gibet de Montfaucon.

François de Montmorency vient discrètement faire décrocher le cadavre de Coligny, son cousin, du gibet de Montfaucon.

Le massacre des protestants n'est pas général.

Nombre d'entre eux sont des familiers de la famille royale ou du clan des Guise.

Pour se protéger de la furie populaire, plusieurs groupes de protestants viennent chercher une protection à l'hôtel de Guise.

Renée de France, duchesse de Ferrare, se réfugie avec ses serviteurs à l'hôtel de la duchesse de Nemours, mère du duc de Guise.

D'autres sont restés au Louvre auprès de la famille royale.

C'est le cas de la duchesse d'Uzès, amie de Catherine de Médicis et des princes et des princesses de sang.

Les protestants présents à Paris le 24 août 1572 qui survivent sont surtout ceux qui logent hors de la ville, dans le faubourg Saint-Germain.

Gabriel Ier de Montgommery est parmi les survivants.

Sagement retiré de la ville après la tentative d'assassinat de Gaspard II de Coligny, un Huguenot blessé traverse la Seine à la nage pour l'avertir.

La tête de Gabriel Ier de Montgommery est mise à prix et des chasseurs de prime le pourchassent jusqu'en Angleterre où Catherine de Médicis réclame à plusieurs reprises son extradition.

La reine Élisabeth lui fait répondre : Dites à la Reine-mère que je ne serai pas le bourreau de la France.

Élève au collège de Bourgogne à Paris, Maximilien de Béthune échappe au massacre.

Geoffroy de Caumont échappe de peu au massacre de la Sainte-Barthélemy.

Galiot de Crussol, frère d'Antoine de Crussol, fait partie des victimes.

Dès le matin du 24 août 1572, Louis de Gonzague est envoyé par Charles IX de France pour empêcher les tueries et arrêter les pilleurs.

Il sauve ainsi les protestants réfugiés à l'ambassade d'Angleterre.

Antoine de Clermont d'Amboise meurt à Paris assassiné par Louis de Clermont d'Amboise seigneur de Bussy, son propre cousin, avec qui il est en procès.

Louis de Clermont d'Amboise s'empare du château Antoine de Clermont d'Amboise.

Catholique, Guillaume V de Hautemer cache François de Moneins, son ami protestant.

Il va demander sa grâce à Charles IX de France qui la lui refuse et lui ordonne de le tuer, s'il ne veut être frappé lui même.

À contre codeur, Guillaume V de Hautemer indique la retraite de son ami, qui est aussitôt assassiné.

Pierre de Salcède, alors même qu'il est catholique, haï par les Guises, meurt le 25 août 1572 lors de ces massacres. Sa maison est pillée.

François Ier de Béthune réchappe au massacre.

Charles II de Quélennec, Baron du Pons ou de Pont et de Rostrenen, meurt en 1572.

Il est tué dans la cour du Louvre lors de la nuit de la Saint-Bathélemy.



Mariage de Louis de Clermont d'Amboise avec Anne Lallemant

Louis de Clermont d'Amboise est le fils d'Antoine de Clermont d'Amboise et de Jeanne de Longuejoue.

Louis de Clermont d'Amboise épouse Anne Lallemant ou Lalemant. Leurs enfants sont :


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