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�v�nements contenant la ou les locutions cherch�es



14 �v�nements affich�s, le premier en 1725 - le dernier en 1807



Naissance de Jean-Baptiste Donatien de Vimeur

Jean-Baptiste Donatien de Vimeur na�t � Vend�me le 1er juillet 1725, fils de Joseph Charles de Vimeur de Rochambeau et de Marie-Claire Th�r�se B�gon.

Jean-Baptiste Donatien de Vimeur est � l'origine destin� � l'�glise et est �lev� au coll�ge des Oratoriens de Vend�me puis par les j�suites au coll�ge de Blois.



Mariage de Jean-Baptiste Donatien de Vimeur avec Jeanne Th�r�se Tellez d'Acosta

Jean-Baptiste Donatien de Vimeur �pouse le 22 d�cembre 1749 Jeanne Th�r�se Tellez d'Acosta.

Leur enfant est :


Bataille de Kloster Kampen - En bleu les mouvements français Mort du chevalier d'Assas

Bataille de Kloster Kampen

Mort de Louis d'Assas

Pendant la guerre de Sept Ans, au cours de l'automne 1760, Ferdinand de Brunswick-Lunebourg, commandant de l'arm�e alli�e, menace Hanovre occup�e par les Fran�ais.

Pour cr�er une diversion, Ferdinand de Brunswick-Lunebourg attire 20 000 soldats fran�ais plus � l'ouest.

Le commandement fran�ais se pr�pare � d�fendre la ville de Wesel, sur la rive orientale du Rhin, et d�cide de br�ler les ponts � proximit� de l'embouchure de la Lippe.

Le 4 octobre 1760, le r�giment d'Auvergne quitte Weildungen, o� il �tait cantonn�, pour se rapprocher du Rhin.

Le r�giment d'Auvergne arrive le 13 octobre 1760 � Neuss.

Le r�giment d'Auvergne entre le 13 octobre 1760 dans le camp de Moers, non loin de la route qui va � l'abbaye de Camp ou Kloster Kamp.

Charles Eug�ne Gabriel de La Croix vient renforcer la garnison locale.

Ferdinand de Brunswick-Lunebourg entame alors le si�ge de Wesel avec la cr�ation de 2 ponts de bateaux.

Il se r�sout � une bataille contre l'arm�e de Charles Eug�ne Gabriel de La Croix dans le Kloster Kampen � l'ouest de la rivi�re.

Le g�n�ral George Augustus Elliot commande l'avant-garde constitu�e :

La cavalerie hessoise et celle de Hanovre doivent constituer la r�serve.

La bataille de Kloster Kampen ou Clostercamp (selon l'orthographe fluctuante de l'�poque) en Westphalie commence au milieu de la nuit le 15 octobre 1760 et finie le 16 octobre 1760.

L'avant-garde alli�e repousse les Fran�ais de Kloster Kampen et prend le pont sur le canal.

Le son de la bataille pr�vient le gros de l'arm�e fran�aise du d�but de l'offensive adverse.

L'aube s'est alors lev�e alors que les Anglais et les Prussiens s'appr�tent � passer � l'attaque.

Les r�giments de Highlanders se mettent alors � d�border les ailes fran�aises.

Cela oblige les Fran�ais � se replier.

En danger, Charles Eug�ne Gabriel de La Croix d�cide de faire entrer dans la bataille ses r�serves, qui rallient les r�giments en retraite.

Il lance alors une contre-offensive contre l'infanterie alli�e.

Anne Emmanuel Fran�ois Georges de Crussol d'Uz�s commande le r�giment de la reine lors de cette bataille.

L'attaque fran�aise surprend Anglais et Prussiens dont les r�giments se d�sorganisent.

Ces derniers doivent alors se replier de l'autre c�t� du canal.

Malgr� la mise en branle par Ferdinand de Brunswick-Lunebourg de ses r�serves, celles-ci, trop �loign�es du champ de bataille, ne peuvent arr�ter la contre-offensive fran�aise.

� l'extr�mit� ouest du canal, George Augustus Elliot conduit 3 r�giments de cavalerie britannique dans une charge qui provoque la confusion dans les rangs fran�ais.

Cela permet aux autres forces battant en retraite de toutes se replier sur l'autre rive sans trop de dommages.

Mais Ferdinand de Brunswick-Lunebourg est conscient que la victoire lui a �chapp�.

Ferdinand de Brunswick-Lunebourg r�organise ses troupes et se replie en direction du Rhin.

� son arriv�e, Ferdinand de Brunswick-Lunebourg constate que les ponts flottants qu'il avait �tablis ont �t� d�truits.

La travers�e durera 2 jours.

Heureusement pour lui et ses hommes, Charles Eug�ne Gabriel de La Croix n'a pas ordonn� la poursuite.

Le r�giment d'Auvergne est sous les ordres :

Louis d'Assas en est capitaine en second des chasseurs d'Auvergne.

Charles Eug�ne Gabriel de La Croix se doutant d'une surprise, envoie Louis d'Assas � la nuit � la d�couverte.

� peine a-t-il fait quelques pas dans le bois voisin, des grenadiers ennemis l'environnent, le saisissent, et lui pr�sentent la ba�onnette, l'avertissant qu'au moindre bruit, il est mort.

Louis d'Assas semble d'abord ob�ir, puis tout � coup, renfor�ant sa voix, il crie :

A moi, Auvergne ; voici l'ennemi !

Il tombe perc� de coups mais n'expire pas sur le coup.

La relation de la bataille ne fait nullement mention du d�vouement de Louis d'Assas ; il se trouve seulement port� le premier des capitaines d'Auvergne tu�s.

Ce mot sublime appartient au valeureux Dubois, sergent de ce r�giment et par une erreur presque in�vitable un jour de combat, il sera attribu� � l'officier.

Louis d'Assas r�p�te � ceux qui le transportent : Enfants, ce n'est pas moi qui ai cri�, c'est Dubois.

Le r�giment d'Auvergne perd 800 soldats, a 58 officiers tu�s ou bless�s dont ses colonel, lieutenant-colonel et capitaines commandant.

� la compagnie des chasseurs, il ne survit que 7 soldats et son capitaine commandant.

Cette victoire tactique fran�aise est lourde de pertes, mais les ennemis quittent le terrain et abandonnent la man�uvre de diversion.

Jean Henri Becays Ferrand est gri�vement bless� lors de ce combat.

Les espoirs des Britanniques de mettre fin � la guerre avec des conditions avantageuses pour eux dispaissent malgr� leurs nombreux succ�s en Am�rique du Nord.



Projet de descente en Angleterre

Le 10 avril 1770, No�l Jourda de Vaux est d�sign�, commandant en chef de l'arm�e devant op�rer une descente en Angleterre, avec le concours de la flotte espagnole.

Au sein de cette arm�e figurent Jean-Baptiste Donatien de Vimeur et Gilbert Motier de La Fayette.

Le projet sera abandonn�.

No�l Jourda de Vaux c�de son commandement en Corse � Louis Charles Ren� de Marbeuf.

Louis Charles Ren� de Marbeuf, nouveau gouverneur de Corse, est r�guli�rement invit� chez Charles Marie Bonaparte et Maria Letizia Ramolino.



Charles C�sar de Damas Aide de camp de Jean-Baptiste Donatien de Vimeur

En 1780, Charles C�sar de Damas est nomm� aide de camp de Jean-Baptiste Donatien de Vimeur

Charles C�sar de Damas fait les campagnes de 1780 et 1781 en Am�rique



Armand-Louis de Gontaut Biron Colonel-propri�taire de la L�gion des volontaires �trangers de Lauzun

Armand-Louis de Gontaut Biron est nomm� Brigadier de Dragons, le 1er mars 1780 sous les ordres de Jean-Baptiste Donatien de Vimeur.

Le 5 mars 1780, Armand-Louis de Gontaut Biron devint Colonel-propri�taire de la L�gion des volontaires �trangers de Lauzun, ancienne 2e L�gion des volontaires �trangers de la Marine,



D�part du corps exp�ditionnaire de Jean-Baptiste Donatien de Vimeur pour l'Am�rique

En 1780, Louis XVI refuse � Louis Philippe II Joseph d'Orl�ans la permission de faire partie du corps exp�ditionnaire de Jean-Baptiste Donatien de Vimeur qui part pour l'Am�rique.



Louis Marie Marc Antoine de Noailles Mestre de camp lieutenant commandant du r�giment de roi-dragons

Louis Marie Marc Antoine de Noailles passe en Am�rique avec le corps de Jean-Baptiste Donatien de Vimeur.

Le 27 janvier 1782, il est Mestre de camp lieutenant commandant du r�giment de roi-dragons.



Louis Philippe de S�gur en Am�rique

Louis Philippe de S�gur Colonel

Louis Philippe de S�gur s'enthousiasme pour la R�volution am�ricaine.

En 1783, Louis Philippe de S�gur suit Jean-Baptiste Donatien de Vimeur en Am�rique, o� il gagne le grade de colonel.

Louis Philippe de S�gur est membre fondateur de la soci�t� des Cincinnati.


Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara - par Lerminier ou Herminie Déhérain (1798-1839)

Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara Ministre de la guerre

Mar�chal de camp nomm� par Louis XVI, Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara devient ministre de la guerre le 6 d�cembre 1791.

Ni Louis XVI ni Marie-Antoinette d'Autriche ne l'appr�cient, mais sa nomination doit barrer la route � Gilbert Motier de La Fayette que la famille royale d�teste.

En vue de la guerre prochaine, Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara visite les fronti�res du royaume pendant son minist�re, et fait, � la suite de ce voyage, un brillant rapport � l'Assembl�e l�gislative sur les ressources militaires de la France.

Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara organise 3 arm�es sous les ordres :


Jean-Baptiste Donatien de Vimeur

Jean-Baptiste Donatien de Vimeur Mar�chal de France

Jean-Baptiste Donatien de Vimeur est fait Mar�chal de France en 1791 par Louis XVI.



Combat de Qui�vrain

Les troupes fran�aises p�n�trent dans les Pays-Bas autrichiens pour aider la R�volution braban�onne.

L'arm�e fran�aise du Nord command�e par Jean-Baptiste Donatien de Vimeur de Rochambeau prend l'offensive contre les Coalis�s.

Le 28 avril 1792 cette arm�e divis�e en 3 colonnes, marche sur Mons, Tournai et Furnes.

Auguste Marie Henri Picot de Dampierre est aide de camp de Jean-Baptiste Donatien de Vimeur de Rochambeau.

En avril 1792, Auguste Marie Henri Picot de Dampierre est colonel du 5e dragons sous les ordres de Armand-Louis de Gontaut Biron.

Armand-Louis de Gontaut Biron sort de Valenciennes pour mener des op�rations sur Mons.

Il dispose :

L'avant-garde est sous les ordres d'Armand-Louis de Gontaut Biron et le 1er bataillon de volontaires du Nord qui en fait partie est charg� d'occuper le village de Qui�vrain.

Armand-Louis de Gontaut Biron arrive le 28 avril 1792 sur Qui�vrain o� se trouvent les Autrichiens de Johann Pierre de Beaulieu.

Armand-Louis de Gontaut Biron organise ses troupes en 3 colonnes.

Avec les colonnes de gauche et du centre, Armand-Louis de Gontaut Biron repousse quelques Autrichiens.

Mais la colonne de droite tombe nez � nez avec une force autrichienne plus importante.

Armand-Louis de Gontaut Biron est harcel� par les avant-postes ennemis.

Dans la nuit du 29 au 30 avril 1792, un �change de coups de feu provoque brusquement la fuite des 5e et 6e dragons qui se d�bandent aux cris de Trahison ! Sauve qui peut !.

En cherchant � rallier les fuyards, Auguste Marie Henri Picot de Dampierre est renvers� et foul� aux pieds des chevaux.

Le matin du 30 avril 1792, Armand-Louis de Gontaut Biron qui approche de Mons, rebrousse chemin et retrouve les troupes qui sont rest�es sur place.

Adolphe �douard Casimir Joseph Mortier a un cheval tu� sous lui.

La colonne du g�n�ral Th�obald Dillon s'enfuit pr�s de Tournai.

Armand-Louis de Gontaut Biron songe � passer � l'offensive avant d'apprendre la d�route d'Arthur Dillon depuis Tournai.

La troisi�me colonne, sans soutien, est oblig�e de battre en retraite sans avoir rep�r� l'ennemi.

Johann Pierre de Beaulieu d�cide � passer � l'offensive sur le flanc gauche fran�ais provoquant la d�bandade.

L'arm�e fait retraite jusqu'� Valenciennes et s'y enferme.

Louis Marie Marc Antoine de Noailles d�missionne en mai 1792 apr�s cette d�route.

L'offensive de l'arm�e du Centre de Gilbert du Motier de La Fayette, qui doit, en remontant la vall�e de la Meuse, prendre Namur puis Li�ge est imm�diatement stopp�e � Givet.

Les divers �v�nements en Pologne ne permettent pas aux Autrichiens de profiter de leurs avantages et de p�n�trer, seuls, en Flandre fran�aise, sauvant, selon toute vraisemblance, les arm�es fran�aises d'une d�route totale.

Charles-Philippe de Schwarzenberg, aide de camp du g�n�ral Fran�ois-S�bastien de Croix, se distingue lors de l'affaire de Qui�vrain, le 1er mai 1792.

Louis Marie Marc Antoine de Noailles d�missionne en mai 1792 apr�s la d�route de Qui�vrain � cause de l'indiscipline des troupes.

Louis Marie Marc Antoine de Noailles se rend alors en Angleterre.



Invasion de la France

Bataille de Fontoy

Prise de Longwy

Prise de Verdun

Prise de Stenay

Le 12 ao�t 1792, au lever du soleil les troupes l�g�res prussiennes p�n�trent sur le territoire fran�ais.

Le 15 ao�t 1792, l'arm�e prussienne vient camper entre Sierck et Luxembourg, et le g�n�ral Fran�ois-S�bastien de Croix, � la t�te des Autrichiens, coupe la communication entre Longwy et Montm�dy.

Les forces anti ou contre-r�volutionnaires envahissent la France le 18 ao�t 1792.

Une arm�e de 150 000 hommes form�e de troupes :

sous le commandement de Charles-Guillaume Ferdinand de Brunswick, repr�sentant de Fr�d�ric Guillaume II de Prusse, s'avance contre la France, sur toute la ligne de ses fronti�res, entre Dunkerque et la Suisse.

S'y sont joints 20 000 �migr�s.

Victor-Fran�ois de Broglie commande l'arm�e contre-r�volutionnaire de Louis V Joseph de Bourbon-Cond� en 1792 qui op�re en Champagne.

Louis Auguste Victor de Ghaisne participe � cette campagne.

Le 17 ao�t 1792, Nicolas de Luckner est attaqu� par 22 000 Autrichiens qu'il �crase du feu de ses batteries.

Le 19 ao�t 1792, Nicolas de Luckner r�siste courageusement � une attaque de 22 000 Autrichiens � Fontoy.

Il est n�anmoins rappel� et rel�gu� dans un commandement secondaire.

De plus, Nicolas de Luckner est appel� � la barre de la Convention pour y rendre compte de sa conduite.

Il proteste de son d�vouement � la France et n'en re�oit pas moins l'ordre de ne point s'�loigner de Paris.

Le 20 ao�t 1792, les forces prussiennes battent les troupes fran�aises � Verdun.

Le 23 ao�t 1792, apr�s un bombardement de 3 jours, Longwy se rend aux alli�s qui marchent alors lentement vers la Place de Verdun ind�fendable.

Le colonel Beaurepaire, commandant de la place de Verdun, indign� de la l�chet� du conseil de guerre qui veut capituler, prend un pistolet et se suicide.

Le 2 septembre 1792, Verdun, place forte r�put�e imprenable, capitule. La route de Paris est alors ouverte.

Le jeune Marceau, qui veut comme Beaurepaire s'ensevelir sous les ruines de la place, finit par se rendre le 3 septembre 1792.

Charles-Guillaume Ferdinand de Brunswick prend possession de Verdun au nom du roi de France.

L'arm�e d'invasion r�unie � Verdun est forte de 80 000 hommes.

D�s 4 septembre 1792, Fr�d�ric Guillaume II de Prusse donne ordre � cette arm�e d'avancer � travers les plaines de la Champagne et de marcher droit sur Paris.

Il s'arr�te cependant � quelques lieues de Ch�lons-sur-Marne, arriv� au terme de son voyage qui devait �tre une suite de f�tes et de triomphes.

Fran�ois-S�bastien de Croix entre en Champagne et s'empare de Stenay

Les troupes fran�aises n'ont subi que des revers depuis la d�claration de guerre. Les commandants en chef des arm�es fran�aises deviennent suspects.

Aussi, avant qu'une action s�rieuse puisse �tre entreprise, les trois arm�es :

sont r�parties entre les g�n�raux Charles Fran�ois du Perrier du Mouriez et Fran�ois �tienne Christophe Kellermann.



Mort de Jean-Baptiste Donatien de Vimeur

Jean-Baptiste Donatien de Vimeur meurt � Thor�-la-Rochette le 10 mai 1807.


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