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�v�nements contenant la ou les locutions cherch�es
11 �v�nements affich�s, le premier en 1780 - le dernier en 1860
Naissance d'�lie Louis Decazes
�lie Louis Decazes na�t � Saint-Martin-de-Laye le 28 septembre 1780, fils du lieutenant particulier de la s�n�chauss�e et pr�sidial de Libourne en Gironde.
�lie Louis Decazes � l'�cole militaire de Vend�me
�lie Louis Decazes commence des �tudes � l'�cole militaire de Vend�me de 1790 � 1799.
Mariage d'�lie Louis Decazes
�lie Louis Decazes Juge au tribunal civil de la Seine
�lie Louis Decazes entame des �tudes de droit.
�lie Louis Decazes �pouse la seconde fille du comte Muraire.
�lie Louis Decazes devient en 1805 juge au tribunal civil de la Seine.
�lie Louis Decazes Conseiller de Louis-Bonaparte Ier de Hollande
�lie Louis Decazes est nomm� ensuite Conseiller de Louis-Bonaparte Ier de Hollande en 1807.
�lie Louis Decazes Avocat-conseil � la cour de l'appel de Paris
�lie Louis Decazes devient avocat-conseil � la cour de l'appel de Paris en 1811.
D�claration de Saint-Ouen
En 1814, apr�s l'abdication de Napol�on Ier, Louis XVIII, de retour d'exil, signe dans le ch�teau de Saint-Ouen la d�claration de Saint-Ouen qui fonde la Restauration.
Louis XVIII rach�te la propri�t�, fait raser le ch�teau de Saint-Ouen et charge l'architecte J. J. M Huv� de construire une demeure de style palladien qu'il offre � sa favorite la Comtesse du Cayla.
Rentr�e en France, apr�s vingt ann�es d'exil, Marie-Th�r�se de France d�fend la monarchie.
Elle est plus proche des id�es conservatrices de Charles X de France, son beau-p�re, que des id�es plus mod�r�es de Louis XVIII.
Charles Ferdinand d'Artois revient en France.
Jean-Jacques R�gis de Cambac�r�s se retire de la vie politique.
�lie Louis Decazes accueille la Restauration avec empressement.
Les Cent-Jours
Guillaume II des Pays-Bas commandant de l'arm�e n�erlandaise
Napol�on Ier d�barque sur les c�tes fran�aises � Golfe-Juan.
Au tout d�but mars 1815, Napol�on Ier rencontre par hasard Honor� V Grimaldi.
La l�gende veut que l'Empereur, s'�tant entendu r�pondre Je vais chez moi � Monaco aurait affirm� que lui aussi se rendait chez lui aux Tuileries.
Lors du retour de l'Empereur en 1815, il semble que Jean Gabriel Marchand d'abord voulu �viter tout contact entre ses troupes et celles de l'�le d'Elbe.
Jean Gabriel Marchand envisage m�me d'�vacuer Grenoble et de se retirer sur Chamb�ry pour soustraire ses soldats au prestige de la pr�sence de Napol�on Ier.
Cependant un bataillon du 5e de ligne et une compagnie de sapeurs sont partis avec l'ordre de d�truire le pont du Ponthaut � quelques lieues de la Mure.
Ce d�tachement est command� par le chef de bataillon Lessard le 7 mars 1815 � 9 heures au village de Laffrey.
Vers 13 heures, Napol�on Ier y arrive �galement.
Les 2 troupes s'observent pendant quelque temps
Mais l'h�sitation, si elle existait, nest pas de longue dur�e.
Napol�on Ier met pied � terre, et s'avance vers le bataillon, et aussit�t les cris de vive l'Empereur retentissent.
Jacques Louis C�sar Alexandre Randon n'a plus qu'� retourner vers, Jean Gabriel Marchand, son oncle pour lui rendre compte de ce qui se passe.
Jean Gabriel Marchand se retire par la route de Chamb�ry avec 150 hommes rest�s fid�les aux Bourbons.
Jean Gabriel Marchand, ralli� aux Bourbons, est maintenu dans son commandement de la 7e division militaire et conserve Jacques Louis C�sar Alexandre Randon pour aide de camp.
En 1815, Guillaume II des Pays-Bas prend le commandement de l'arm�e n�erlandaise pour combattre Napol�on Ier pendant les Cent-Jours.
Louis Alexandre Berthier accompagne le roi et se voit ray� de la liste des mar�chaux.
Pendant les Cent-Jours, Charles Ferdinand d'Artois suit Louis XVIII � Gand.
Armand-Emmanuel-Sophie-Septimanie de Vignerot accompagne Louis XVIII, sur le chemin de Gand, jusqu'� Lille.
Charles C�sar de Damas accompagne Louis XVIII en Belgique.
Louis Eug�ne Augustin Hilaire de Choiseul d'Aillecourt se rallie � la restauration et suit le roi � Gand durant les Cent-Jours
En 1815, pendant les Cent-Jours, Louis VI Henri Joseph de Bourbon-Cond� cherche � organiser la r�sistance royaliste en Anjou avant de fuir en Espagne.
Marie-Th�r�se de France se trouve � Bordeaux, o� elle tente d'organiser la r�sistance � Napol�on Ier, quand le roi s'est r�fugi� en terre �trang�re, � Gand.
Napol�on, admiratif, dit de Marie-Th�r�se de France qu'elle est le seul homme de la famille, et la laisse s'embarquer pour l'Angleterre.
Hortense de Beauharnais est fid�le � l'Empereur pendant les Cent-Jours.
Pendant les Cent-Jours, Fran�ois �tienne Christophe Kellermann reste � l'�cart des �v�nements.
Joseph Bonaparte est Lieutenant-g�n�ral de l'Empire lors des Cent-Jours.
Pendant les Cent-Jours, Charles-Marie Denys de Damr�mont est nomm� colonel et reste sous les ordres d'Auguste Fr�d�ric Louis Viesse de Marmont.
Commandant de la 1�re subdivision de la 12e division militaire � La Rochelle, Fran�ois-Xavier Donzelot se rallie � Napol�on Ier.
Charles-Fran�ois Lebrun accepte pendant les Cent-Jours la charge de grand ma�tre de l'Universit�.
Henri Gatien Bertrand se r�installe aux Tuileries et devient grand Mar�chal du Palais et conseiller militaire de Napol�on Ier.
Se d�clarant royaliste, �lie Louis Decazes refuse de signer une adresse de f�licitations � Napol�on Ier apr�s son retour de l'�le d'Elbe et reste fid�le aux Bourbons.
Isaac Thuret est un des rares diplomates � rester � Paris lors des Cent Jours.
Guy-Victor Duperr� est Pr�fet maritime de Toulon pendant les Cent-Jours en 1815.
Mort d'Anne-Louise Germaine Necker
Une attaque de paralysie terrasse Anne-Louise Germaine Necker au cours d'un bal que donne �lie Louis Decazes.
Elle s'�croule dans les bras d'Achille L�once Victor Charles de Broglie, son gendre.
Anne-Louise Germaine Necker meurt � Paris le 14 juillet 1817 d'une h�morragie c�r�brale.
Elle est enterr�e conform�ment � ses v�ux, aupr�s de ses parents dans la chapelle d'un cimeti�re situ� � une petite distance du ch�teau de Coppet.
R�habilitation de Charles Antoine Louis Alexis Morand
En 1819, par l'entremise d'�lie Louis Decazes et du comte Pozzo di Borgo, Charles Antoine Louis Alexis Morand obtient une ordonnance de Louis XVIII qui lui permet de rentrer en France.
Charles Antoine Louis Alexis Morand arrive � l'improviste � Strasbourg, se constitue prisonnier.
Il compara�t, le 5 juin 1819, devant le Conseil de guerre de la 5e division militaire, pr�sid� par le g�n�ral Hohenlohe.
Charles Antoine Louis Alexis Morand lit une lettre de Louis Nicolas Davout qui pr�cise que les proclamations de 1815 qui lui sont reproch�es ont �t� r�dig�es par le minist�re de la Guerre de l'�poque, � charge pour lui de les signer.
Dans ces conditions, Charles Antoine Louis Alexis Morand est d�clar� non coupable et le pr�c�dent jugement du Conseil de guerre de La Rochelle est cass� et annul�.
Charles Antoine Louis Alexis Morand est r�int�gr� dans l'arm�e au m�me grade.
Mort de Charles Antoine Louis Alexis Morand
Charles Antoine Louis Alexis Morand meurt 63, rue des Saints-P�res � Paris le 2 septembre 1835.
Ses obs�ques sont c�l�br�es � l'�glise Saint- Germain-des-Pr�s.
Les cordons du po�le sont tenus par :
Il est inhum� au cimeti�re du P�re-Lachaise (39e division).
Au cimeti�re, les discours sont prononc�s par les g�n�raux Delort et Bernard, aides de camp de Louis-Philippe Ier de France
L'aust�re r�publicain Kl�ber est l'auteur de l'�loge suivant : Je le d�clare propre � tout et surtout plein d'honneur, de d�licatesse et de probit�.
Son nom est inscrit au c�t� Est de l'Arc-de-Triomphe de l'�toile.
Mort d'�lie Louis Decazes
�lie Louis Decazes meurt 26, rue Jacob � Paris le 24 octobre 1860.
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