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�v�nements contenant la ou les locutions cherch�es
7 �v�nements affich�s, le premier en 1747 - le dernier en 1794
Mariage de Louis-Ferdinand de France avec Marie-Jos�phe de Saxe
Louis-Ferdinand de France est veuf de Marie-Th�r�se-Rapha�lle d'Espagne. La raison d'�tat oblige Louis-Ferdinand de France � avoir des enfants m�les aptes � acc�der au tr�ne.
Louis-Ferdinand de France �pouse � Versailles le 9 f�vrier 1747 Marie-Jos�phe de Saxe, fille de Fr�d�ric-Auguste II de Saxe et de Marie-Jos�phe d'Autriche. Leurs enfants sont :
Louis-Ferdinand de France, toujours attach� � Marie-Th�r�se-Rapha�lle d'Espagne, ne montre d'abord � la jeune princesse allemande que froideur voire m�pris.
Mais Marie-Jos�phe de Saxe est une femme d'un esprit sup�rieur et est soutenue par ses belles-s�urs.
Anne-Henriette de France se prend d'affection pour Marie-Jos�phe de Saxe et, avec succ�s, s'emploie � faire changer les sentiments de Louis-Ferdinand de France, son fr�re.
Conseill�e par Hermann Maurice de Saxe, son onclee, Marie-Jos�phe de Saxe apprivoise son mari, mod�re ses exc�s de d�votion et de rigueur morale tout en �tant elle-m�me tr�s pieuse. Leur couple sera finalement tr�s uni.
Naissance d'�lisabeth Philippine de France
�lisabeth Philippine de France na�t en 1764, fille de Louis-Ferdinand de France et de Marie-Jos�phe de Saxe.
Elle est �lev�e par Madame de Marsan avec sa jeune s�ur Clotilde de France.
Gabrielle Yolande Claude Martine de Polastron Gouvernante des enfants de France
Gabrielle Yolande Claude Martine de Polastron devient Gouvernante des enfants de France de 1782 � 1789.
Le Tr�sor royal �ponge les dettes du couple Polignac (400 000 livres).
Le reste de la famille Polignac profite aussi de la manne :
L'avalanche de faveurs touchant les Polignac sont pour beaucoup dans l'impopularit� croissante de la reine, surtout � une p�riode o� l'on ne parle que d'�conomies.
La rumeur publique fait vite de Gabrielle Yolande Claude Martine de Polastron la ma�tresse de la reine.
Surtout, les Polignac intriguent avec les autres favoris, comme le baron de Besenval, et se m�lent de politique.
On les appelle le parti de la reine, ce qui nuit encore � la r�putation de cette derni�re.
Fuite de la famille royale
Les patriotes d�testent Fran�ois Claude Amour du Chariol.
La famille royale charge Fran�ois Claude Amour du Chariol d'organiser sa fuite.
En cas de succ�s le Roi pr�voit de remettre � Fran�ois Claude Amour du Chariol le grade de Mar�chal de France mais les dispositions que Fran�ois Claude Amour du Chariol prend contribuent en partie � l'arrestation de Louis XVI � Varennes-en-Argonne.
Louis XVI d�guis� en valet quitte Paris le 20 juin 1791.
Il est accompagn� de :
Claude-Antoine-Gabriel de Choiseul est Colonel du r�giment Royal Dragons en 1791.
En 1791, Charles C�sar de Damas est en garnison � Saint-Mihiel mais son r�giment ne compte plus gu�re que 80 hommes, en raison de la d�sorganisation de l'arm�e.
Claude-Antoine-Gabriel de Choiseul, sur ordre de Fran�ois Claude Amour du Chariol, charge Charles C�sar de Damas d'assurer la s�curit� du roi entre Clermont-en-Argonne et Varennes-en-Argonne.
Cantonn� � Clermont-en-Argonne, la troupe de dragons Charles C�sar de Damas se fait remarquer et attire les soup�ons de la population qui alerte celle de Varennes-en-Argonne.
Lorsque la berline de la famille royale arrive � Varennes-en-Argonne, le 21 juin 1791 Charles C�sar de Damas d'Antigny ne peut rien faire, � cause de l'ent�tement du Roi et de la Reine, qui refusent la discr�tion, et ensuite refusent de lui confier Louis XVII, que Charles C�sar de Damas d'Antigny veut prot�ger en priorit�.
Ils sont arr�t�s malgr� la pr�sence de 60 hussards de Lauzun command�s par le sous-lieutenant R�hrig.
Claude-Antoine-Gabriel de Choiseul est arr�t� � Varennes avec le roi
Charles C�sar de Damas propose au roi de le faire enlever mais celui-ci refuse et se laisse reconduire � Paris, non sans risque pour la vie de sa famille.
Au matin du 22 juin 1791, Charles C�sar de Damas est arr�t�, d�tenu � Verdun, puis � La Merci, � Paris, d�cr�t� d'accusation.
Une d�claration, laiss�e par Louis XVI � Paris, stigmatisant les Jacobins et leur emprise croissante sur la soci�t� fran�aise, est bloqu�e par l'Assembl�e et ne sera jamais diffus�e dans son int�gralit�.
Les caricaturistes r�volutionnaires s'en donnent � c�ur joie.
Un mouvement important parmi les r�volutionnaires commence � r�clamer le d�part du roi.
Les Cordeliers r�digent plusieurs p�titions contre lui, soutenus par des journaux comme Le R�publicain.
Les Jacobins d�cident de suivre les Cordeliers, ce qui cr�e une rupture en leur sein.
Une partie de leurs membres cr�ent le club des Feuillants.
Alexandre de Beauharnais fait parti des Jacobins qu'il pr�side.
Alexandre de Beauharnais occupe le fauteuil de la pr�sidence de l'assembl�e constituante lors de la fuite du roi.
Jugement de Marie-Antoinette d'Autriche
Mort de Marie-Antoinette d'Autriche
Le 3 octobre 1793, Jacques Nicolas Billaud-Varenne demande aux d�put�s de la Convention de traduire Marie-Antoinette d'Autriche devant le Tribunal r�volutionnaire.
Le 5 octobre 1793, la Convention nationale vote le d�cret ordonnant que le tribunal r�volutionnaire s'occupe sans d�lai et sans interruption du jugement de la veuve Capet.
Le dossier �tant vide, on r�unit � la h�te plusieurs comparses subalternes que l'on affuble de la qualit� de t�moins.
Le 6 octobre 1793, une commission constitu�e :
se rend � la prison du Temple afin de proc�der � l'interrogatoire de Louis XVII, et lui faire r�it�rer les graves accusations d'inceste prof�r�es contre Marie-Antoinette d'Autriche, sa m�re.
Le 7 octobre 1793, cette commission proc�de � l'interrogatoire de Marie-Th�r�se de France, sa s�ur, et de �lisabeth Philippine de France, sa tante, lesquelles contestent les all�gations de l'enfant.
Le 12 octobre 1793, � 6 heures, Marie-Antoinette d'Autriche subit, � son tour, un interrogatoire secret destin� � pr�parer l'audience devant d�buter le surlendemain.
Entour�e de 2 gendarmes et d'un huissier, Marie-Antoinette d'Autriche traverse la cour des hommes puis, par l'escalier Bonbec, p�n�tre dans la salle d'audience du Tribunal r�volutionnaire.
Cette salle de la Libert� (Grand'chambre) est la salle dans laquelle les rois tenaient jadis leurs lits de justice.
C'est l'actuelle premi�re chambre du Tribunal de grande instance de Paris.
Marie-Antoinette d'Autriche est invit�e � s'asseoir sur une banquette, devant le bureau de Martial Joseph Armand Herman, jeune pr�sident du tribunal, un prot�g� de Maximilien de Robespierre.
Il fait office de juge d'instruction.
Antoine Quentin Fouquier de Tinville est pr�sent.
Les questions pos�es � Marie-Antoinette d'Autriche n'appellent pas de r�ponses : elles constituent d�j� des accusations.
Martial Joseph Armand Herman demande � Marie-Antoinette d'Autriche ses nom, �ge, profession, pays, et demeure.
Marie-Antoinette d'Autriche r�pond :
Marie-Antoinette de Lorraine d'Autriche, �g�e de 37 ans, veuve du roi de France.
Les questions s'encha�nent, Marie-Antoinette d'Autriche ne faiblit pas, et �carte les accusations avec autant d'esprit que de lucidit�.
Les protagonistes ne parlent pas le m�me langage.
Martial Joseph Armand Herman articule son instruction autour de quelques th�mes majeurs, pr�sent�s de mani�re outranci�re.
Ces th�mes seront d�velopp�s au cours du proc�s.
Martial Joseph Armand Herman passe en revue :
Accusation :
Non contente de dilapider d'une mani�re effroyable les finances de la France, fruit des sueurs du peuple, pour vos plaisirs et vos intrigues, de concert avec d'inf�mes ministres, vous avez fait passer � l'empereur des millions pour servir contre le peuple qui vous nourrissait.
Marie-Antoinette d'Autriche :
Jamais, elle sait
Accusation :
A elle observ� (...) que lorsqu'il �tait question de savoir si Louis Capet sanctionnerait ou opposerait son veto aux d�crets rendus dans le courant de novembre 1791, concernant ses fr�res, les �migr�s et les pr�tres r�fractaires et fanatiques, ce n'est pas elle qui a d�termin� Louis Capet � apposer son veto � ces d�crets ?
Marie-Antoinette d'Autriche
R�pond :
Accusation :
C'est vous qui avez appris � Louis Capet cet art de profonde dissimulation avec laquelle il a tromp� trop longtemps le bon peuple fran�ais, qui ne se doutait pas qu'on p�t porter � un tel degr� la sc�l�ratesse et la perfidie ?
Marie-Antoinette d'Autriche :
Accusation :
Marie-Antoinette d'Autriche :
L'interrogatoire termin�, le Pr�sident Herman demande � l'accus�e si elle souhaite l'assistance d'un avocat.
�puis�e, Marie-Antoinette d'Autriche r�pond qu'elle n'en connait aucun.
Le tribunal lui commet d'office 2 avocats :
Les avocats de Marie-Antoinette d'Autriche ne sont pr�venus que le 13 octobre 1793.
Or les d�bats doivent commencer le lendemain matin, d�s 8 heures.
En h�te, Claude Fran�ois Chauveau-Lagarde revient de sa maison de campagne et se pr�cipite � la Conciergerie, o� Marie-Antoinette d'Autriche lui donne la connaissance de l'acte d'accusation.
Au greffe, les pi�ces du dossier sont entass�es dans un d�sordre indescriptible.
Il faudrait au moins 2 semaines pour trier et y voir clair.
Claude Fran�ois Chauveau-Lagarde r�ussit � convaincre Marie-Antoinette d'Autriche de solliciter un d�lai de 3 jours.
La Convention nationale refuse la demande, sans m�me l'�tudier.
Marie-Antoinette d'Autriche est d�f�r�e devant la juridiction parisienne le 23 vend�miaire an II soit le 14 octobre 1793.
Le 14 octobre 1793, � 8 heures du matin, un public nombreux assiste � l'audience du tribunal r�volutionnaire, charg� de juger Marie-Antoinette d'Autriche.
Celle-ci est conduite vers un fauteuil, plac� bien en vue, sur une petite estrade.
En face, sont assis Martial Joseph Armand Herman, entour� de ses assesseurs ;
Dans un coin sombre est assis Antoine Quentin Fouquier de Tinville.
Les 12 jur�s font leur entr�e.
Fabricius, le greffier lit les 8 feuillets de l'acte d'accusation.
Commence alors l'interminable d�fil� des t�moins.
Durant 4 s�ances, �tal�es sur 2 jours, ils seront 40 � �tre appel�s � la barre.
Aucun de ces t�moins n'apportera des �l�ments d�cisifs.
La dignit� et la hauteur de vue de Marie-Antoinette d'Autriche lui vaudront l'admiration g�n�rale.
Les t�moignages sont fond�s sur des racontars ou des affabulations.
Il y a plusieurs instants d'�motion.
Le plus c�l�bre se situe apr�s la d�position de Jacques-Ren� H�bert qui ne fait que relayer les pamphlets pornographiques visant la reine d�s 1770
Ce dernier a os� soutenir devant le tribunal que :
Martial Joseph Armand Herman est visiblement embarrass�, fait d�vier les d�bats sur l'affaire de l'�illet.
Mais apr�s quelques questions, un jur� revient sur les propos d'H�bert.
Martial Joseph Armand Herman demande alors � Marie-Antoinette d'Autriche de s'expliquer.
L'exclamation indign�e de Marie-Antoinette d'Autriche reste dans toutes les m�moires :
J'en appelle � toutes les m�res !
Elle suscita dans l'assembl�e un mouvement d'admiration qui fait suspendre les d�bats.
Avant de clore les d�bats, Martial Joseph Armand Herman s'adresse � Marie-Antoinette d'Autriche :
Ne vous reste-t-il plus rien � ajouter pour votre d�fense ?
Marie-Antoinette d'Autriche lui r�pond
Aux premi�res heures de ce matin du 16 octobre 1793, Antoine Quentin Fouquier de Tinville lance des impr�cations vengeresses.
Apr�s lui, les avocats de la reine se lancent dans de brillantes improvisations.
Leurs plaidoiries n'ont pas �t� conserv�es.
Claude Fran�ois Chauveau-Lagarde parle pendant 2 heures sur la pr�tendue conspiration avec les puissances �trang�res.
Tronson-Ducoudray r�fute les all�gations port�es sur les ennemis de l'int�rieur.
Antoine Quentin Fouquier de Tinville � bout de patience fait arr�ter les d�fenseurs de la reine en plein tribunal.
La cour fait sortir Marie-Antoinette d'Autriche.
Martial Joseph Armand Herman lui porte alors l'estocade, par un discours qui est en fait un second r�quisitoire.
D�s lors, la d�lib�ration des jur�s est de pure forme.
Ils r�pondent OUI aux 4 questions, � savoir si la reine est coupable d'intelligence avec l'ennemi et de participation � un complot contre la R�publique.
Antoine Quentin Fouquier de Tinville requiert la peine de mort.
Martial Joseph Armand Herman demande � Marie-Antoinette d'Autriche si elle a quelques r�clamations � faire sur l'application des lois invoqu�es par l'accusateur public.
Marie-Antoinette d'Autriche secoue la t�te n�gativement.
Martial Joseph Armand Herman s'adresse aux avocats, ramen�s entre 2 gendarmes.
Chauveau-Lagarde reste muet.
Tronson-Ducoudray ajoute que son minist�re � l'�gard de la veuve Capet est termin�.
Le pr�sident condamne alors ladite Marie-Antoinette, dite Lorraine d'Autriche, veuve de Louis Capet, � la peine de mort.
Le pr�sent jugement sera ex�cut� sur la place de la R�volution, imprim� et affich� dans toute l'�tendue de la R�publique.
� 4 heures du matin le 16 octobre 1793, Marie-Antoinette quitte la salle du tribunal r�volutionnaire.
Marie-Antoinette d'Autriche meurt, le 25 vend�miaire an II soit le 16 octobre 1793, guillotin�e.
Louis XVII, Marie-Th�r�se de France et �lisabeth Philippine de France, sa tante, ne peuvent �tre jug�s pour des crimes politiques dont ils sont innocents.
Ils seront d�s lors poursuivis pour ce qu'ils repr�sentent et non pour ce qu'ils sont.
Marie-Th�r�se de France reste seule avec �lisabeth Philippine de France, sa tante paternelle, et Louis XVII, son jeune fr�re.
Condamnation d'Anne-Marie-Louise-Jeanne Thomas de Domangeville
Mort d'Antoine Jean-Fran�ois M�gret
Anne-Marie-Louise-Jeanne Thomas de Domangeville est arr�t�e et �crou�e � la Conciergerie le 25 germinal an II soit le 14 avril 1794.
Anne-Marie-Louise-Jeanne Thomas de Domangeville entre � l'h�pital des prisons � l'Archev�ch� le 5 flor�al an II soit le 24 avril 1794.
Le 21 flor�al an II soit le 10 mai 1794, Anne-Marie-Louise-Jeanne Thomas de Domangeville et Antoine Jean Fran�ois M�gret d'Etigny de S�rilly, son beau-fr�re, sont condamn�e � mort comme complice de Capet et de sa femme,
Antoine Quentin Fouquier de Tinville est l'accusateur public.
�lisabeth Philippine de France encourage Anne-Marie-Louise-Jeanne Thomas de Domangeville � signaler un d�but de grossesse.
Anne-Marie-Louise-Jeanne Thomas de Domangeville se dit enceinte de 6 semaines.
Une visite a lieu dans le greffe imm�diatement apr�s sa d�claration.
Le document qui constate sa grossesse est sign�e par Thomas S�rilly, Coffinhal et Grebauval, substitut de l'accusateur public.
Dans le doute, l'officier asserment�, assist� de la sage-femme pour le Tribunal, renvoie la constatation d�cisive au cinqui�me mois de la grossesse.
Le Tribunal, par jugement du 22 flor�al an II soit le 11 mai 1794, ordonne qu'on sursoit � l'ex�cution.
Le Moniteur du 23 flor�al soit le 12 mai 1794 indique Anne-Marie-Louise-Jeanne Thomas de Domangeville comme ayant �t� guillotin�e.
Anne-Marie-Louise-Jeanne Thomas de Domangeville est transf�r�e le 26 flor�al an II soit le15 mai 1794 de la Conciergerie � l'hospice de l'Archev�ch�.
Antoine Jean-Fran�ois M�gret meurt le 27 mai 1794 Guillotin�.
On ignore par suite de quelles circonstances et � quel moment Anne-Marie-Louise-Jeanne Thomas de Domangeville sera remise en libert�.
Il ressort, en tout cas, d'une pi�ce des archives qu'au 28 vend�miaire an III soit le 19 octobre 1794 que Anne-Marie-Louise-Jeanne Thomas de Domangeville a quitt� l'Archev�ch� et s'est retir�e rue Basse-des-Remparts, Chauss�e d'Antin.
Mort de �lisabeth Philippine de France
Mort de Louis Marie Athanase de Lom�nie de Brienne Marquis de Mo�, Seigneur de Vendeuil
Mort de Fran�ois Alexandre Antoine de Lom�nie de Brienne
�lisabeth Philippine de France, s�ur du roi, meurt le 21 flor�al an II soit le samedi le 10 mai 1794 guillotin�e.
Louis Marie Athanase de Lom�nie de Brienne meurt guillotin�.
Louis-Marie-Athanase de Lom�nie et 4 autres membres de sa famille :
Un convoi de plusieurs personnes sont guillotin�es en m�me temps :
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