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�v�nements contenant la ou les locutions cherch�es
18 �v�nements affich�s, le premier en 267 - le dernier en 1859
Bataille du Pontirole
Gallien, rassemblant ses troupes marche contre Aureolus et lui inflige une s�v�re d�faite pr�s d'un pont sur l'Adda, affluent du P� (� mi-chemin de Milan et de Bergame, le lieu-dit Pontirole - Pons Aureoli).
Mort de Pertharite de Lombardie Roi des Lombards
Cunipert le Pieux Roi des Lombards
Bataille de la Corne d'Adda
Pertharite de Lombardie meurt assassin� en 688, victime d'une conjuration.
Cunipert le Pieux, fils de Pertharite de Lombardie, lui succ�de et devient Roi des Lombards en 688.
Cunipert le Pieux combat les ducs rebelles ariens Alagis, Duc de Trente, qu'il vainc � la Corne d'Adda, et Ausfrid, Duc usurpateur du Frioul, et les soumet.
Mariage de Raoul V Thibaut de D�ols avec Adda
Raoul V Thibaut de D�ols �pouse en 1070 Adda. Leur enfant est :
Naissance de Raoul VI de D�ols
Raoul VI de D�ols dit le Vieil na�t en 1070, fils de Raoul V Thibaut de D�ols et d'Adda.
Prise de Lodi par les Torriani
Bataille de San Donato
Les della Torre vont recommencer une guerre d'usure contre les Milanais en prenant Lodi puis Castelseprio, en occupant la r�gion entre les rivi�res Adda et Tessin.
Otton Visconti fait appel au marquis Guillaume VII de Montferrat, le fait �lire capitaine g�n�ral de Milan pour 5 ans, puis 10 ans et ira m�me jusqu'� le faire nommer seigneur de Milan en 1278 apr�s que l'arm�e milanaise se soit fait battre par les Torriani � San Donato.
Bataille de Vaprio d'Adda
Mort de Cassone della Torre
Guillaume VII de Montferrat chass� de Milan
Une nouvelle bataille, � Vaprio d'Adda, contre les Torriani donne la victoire aux Visconti, le 25 mai 1281, jour de la San Dionigi (Saint Dionysius).
L'arm�e ennemie est vaincue et dispers�e. Cassone della Torre est tu� au combat. Raimondo della Torre s'en retourne au Frioul et la paix est sign�e avec Lodi.
Torre s'en retourne au Frioul et la paix est sign�e avec Lodi.
Saint Dionysius devient le second protecteur des Visconti, avec Sainte Agn�s.
Confront� aux exigences et aux tergiversations de Guillaume VII de Montferrat, Otton Visconti le chasse de Milan, fin 1281, et s'en fait un ennemi qui s'allie aux della Torre.
Coup d'�tat de Jean-Gal�as Ier Visconti
Barnab� Visconti, Ludovico Visconti et Rodolfo Visconti Prisonniers
Jean-Gal�as Ier Visconti Seigneur de Milan
Barnab� Visconti est sur le point de mener � bien son projet de marier sa fille Lucia Visconti � Louis II d'Anjou, devenu roi titulaire de Naples.
Aid� par sa m�re Blanche-Marie de Savoie, Jean-Gal�as Ier Visconti met au point un coup d'�tat au d�triment de son oncle et beau-p�re.
Le 6 mai 1385, Jean Gal�as Ier Visconti avec Jacopo dal Verme, Ottone di Mandello et Giovanni Malaspina est � la t�te d'une troupe de 500 lances.
Il fait prisonnier Barnab� Visconti et ses deux fils Ludovico Visconti et Rodolfo Visconti et les enferme dans le ch�teau de Porta Giovia � Trezzo sull'Adda.
Le 7 mai 1385, Jean-Gal�as Ier Visconti se rend � la forteresse de la Porte Romaine (Porta Romana).
Le Conseil g�n�ral lui conf�re le pouvoir sur la cit�.
Du 8 au 14 mai 1385, Jean-Gal�as Ier Visconti occupe toutes les villes du fief.
Seules les forteresses r�sisteront plus longtemps.
Les partisans de Barnab� Visconti s'enfuient de Milan et viennent trouver refuge � Mantoue aupr�s d'Agn�s Visconti.
Malgr� la prise de position d'Agn�s Visconti contre Jean-Gal�as Ier Visconti, Fran�ois Ier Gonzague s'entend bien avec ce dernier et aura l'occasion de s'allier � lui dans divers conflits nord-italiens.
Mort de Barnab� Visconti Signore di Milano, di Bergamo, di Brescia, di Cremona, di Soncino, di Lonato et di Valcamonica
Barnab� Visconti meurt le 19 d�cembre 1385 � Trezzo sull'Adda en prison empoisonn� par les soins de Jean-Gal�as Ier Visconti qui aura attendu plus de 6 ans pour se venger des brimades de son oncle.
D�s lors, les ambitions de Jean-Gal�as Ier Visconti n'auront plus de limites.
Mort de Rodolfo Visconti
Apr�s 4 ans d'emprisonnement, Rodolfo Visconti meurt � Trezzo sull'Adda le 3 janvier 1389.
Il est inhum� � Milan dans l'�glise de Santa Maria alla Scala.
Conqu�te du Duch� de Milan
Fuite de Ludovic le More en Autriche
Prise de Milan
Jacques de Trivulce Mar�chal de France
Le 10 juillet 1499, Louis XII, avec une puissante arm�e, 23 000 hommes dont 5 000 Suisses, dot�e d'une forte artillerie, arrive � Lyon.
Dans sa suite, il y a C�sar Borgia et le cardinal Julien delle Rovere, futur pape Jules II, momentan�ment r�concili�s
Georges Ier d'Amboise, Jacques II de Chabannes, Artus Gouffier de Boissy, Pierre de Rohan-Gu�men� et Jean de Poitiers participe � cette campagne.
Philibert II de Savoie participe aux guerres d'Italie au c�t� de Louis XII.
La coalition anti-milanaise est franco-v�nitienne et Fran�ois II Gonzague se met au service de Louis XII.
Les Fran�ais command�s par le condottiere Jacques de Trivulce attaquent le duch� de Milan en juillet 1499.
L'avant-garde de l'arm�e fran�aise, dirig�e par le condottiere Jacques de Trivulce, p�n�tre dans le Milanais le 18 juillet 1499.
� Lyon, l'artillerie et le reste de la cavalerie partent pour l'Italie
En ao�t 1499, l'arm�e fran�aise quitte sa base d'Asti et prend une � une les places fortes d�tenues par Ludovic le More, dont G�nes.
Pendant qu'elle fonce sur Pavie, les V�nitiens passent l'Adda et les villes lombardes se soul�vent
Calculateur et violent, C�sar Borgia tente gr�ce � l'appui de son p�re de se constituer une principaut� en Romagne.
En 1499, C�sar Borgia prend Imola et Forl�, dirig�e par Catherine Sforza en 1499.
Le 2 septembre 1499, Ludovic le More attaqu� sur deux fronts, quitte Milan pour le Tyrol o� l'accueille l'empereur Maximilien Ier de Habsbourg.
Le 14 septembre 1499, les fran�ais prennent possession de Milan qui a n�goci� sa reddition.
Louis XII, qui n'a pas particip� � l'exp�dition, quitte la France pour faire son entr�e solennelle � Milan
Louis XII nomme Jacques de Trivulce Gouverneur de Milan, mais celui-ci se rend tr�s impopulaire.
Jacques de Trivulce, Marquis de Vigevano, est fait Mar�chal de France en 1499 par Louis XII.
Louis XII fait Fran�ois II Gonzague chevalier de l'Ordre de Saint-Michel.
Louis XII quitte la ville au bout d'un mois.
Bulle d'excommunication contre Venise
Bataille d'Agnadel
Bartolomeo d'Alviano Prisonnier
Prise de Brescia, Bergame, Cr�mone et Peschiera
Si�ge de Padoue
Jacques II de Chabannes est envoy� au secours de Maximilien Ier de Habsbourg.
Le 15 avril 1509, l'arm�e fran�aise quitte Milan.
Jules II fulmine une bulle d'excommunication contre Venise, le 27 avril 1509.
Les V�nitiens refusent de c�der � l'ultimatum papal et la guerre �clate.
Command�es par Louis XII de France en personne, l'arm�e fran�aise franchit la fronti�re lombarde le 9 mai 1509.
Philippe de Savoie-Nemours, Antoine II de Lorraine, Charles III de Bourbon, Charles IV d'Alen�on, Jacques de Trivulce, Charles II d'Amboise, Louis II de La Tr�mo�lle et son fils Charles de La Tr�mo�lle participent � cette Campagne.
Venise l�ve une arm�e de mercenaires command�e par Bartolomeo d'Alviano et Niccol� di Pitigliano, les cousins Orsini.
Cette arm�e compos�e de 30 000 fantassins et 2 000 cavaliers, stationne devant Bergame.
Ils re�oivent l'ordre d'�viter toute confrontation directe et de s'en tenir � des d�monstrations et des escarmouches pour harceler l'ennemi.
Le 9 mai 1509, Louis XII, � la t�te de 30 000 hommes dont 6 000 Suisses et 2000 cavaliers, fait traverser l'Adda � son arm�e, � hauteur de Cassano d'Adda.
Charles II d'Amboise commande l'avant-garde.
Bartolomeo d'Alviano est partisan d'enfreindre les consignes des doges et d'attaquer de front l'envahisseur.
Mais finalement, Bartolomeo d'Alviano et Niccol� di Pitigliano qui campent sous les remparts de Treviglio, se d�cident � d�crocher sur le P� afin de tenir des positions plus solides.
Le 14 mai 1509, alors qu'il fait marche vers le sud, Bartolomeo d'Alviano se heurte � un d�tachement fran�ais command� par Charles II d'Amboise, qui stationne ses troupes autour du village d'Agnadel.
Bartolomeo d'Alviano range son arm�e, environ 8 000 hommes, en ordre de bataille, sur un coteau surplombant un vignoble.
Les v�nitiens engagent l'action qui est re�u par l'avant-garde Fran�aise.
Charles II d'Amboise r�pond par une charge de cavalerie, puis fait monter les piquiers suisses � l'assaut.
Ses troupes sont ralenties dans l'ascension de la colline par le franchissement d'un foss� de drainage et par la pluie.
Les positions v�nitiennes soutiennent le premier choc.
Niccol� di Pitigliano est d�j� plusieurs kilom�tres au sud.
Il re�oit un message de Bartolomeo d'Alviano l'appelant � la rescousse.
Il fait r�pondre qu'il vaut mieux interrompre la bataille, et poursuit sa marche vers le sud.
Le gros de l'arm�e fran�aise arrive � Agnadel et encercle Bartolomeo d'Alviano.
Robert Stuart d'Aubigny participe � cette bataille.
Les bataillons Fran�ais et V�nitiens se combattent dans une terrible m�l�e, sans pouvoir presque se reconnaitre, et dans un tel tumulte que les ordres sont � peine entendus par les soldats.
Louis XII fait disposer son artillerie dans les broussailles, hors de la vue des ennemis.
Il les fait tirer, �claircissant les rangs V�nitiens.
Il fait alors donner la gendarmerie Fran�aise, qui est alors la plus redoutable d'Europe, mettant en fuite les forces ennemies.
Bartolomeo d'Alviano est renvers� de son cheval et re�oit un coup de lance qui lui fait perdre l'�il.
Il est fait prisonnier.
Les Fran�ais, notamment le chevalier Bayard, s'illustrent aux c�t�s de leurs alli�s.
La cavalerie v�nitienne s'enfuit, puis en l'espace de 3 heures, l'arm�e v�nitienne est d�truite et compte 4 000 morts.
L'issue de la bataille est connue de Niccol� di Pitigliano dans la soir�e.
Au matin, la moiti� de ses troupes ont d�sert�.
Une Chapelle des Morts ainsi qu'une st�le comm�morative rappellent encore aujourd'hui la bataille d'Agnadel.
Confront� � l'avance inexorable de l'arm�e fran�aise, Niccol� di Pitigliano pr�cipite se retraite sur Tr�vise et Venise, laissant Louis XII prendre possession de toute la Lombardie.
Louis XII s'empare imm�diatement des villes lombardes qui lui reviennent : Brescia, Bergame, Cr�mone et Peschiera.
Charles IV d'Alen�on participe aux prises de Bergame, de Caravaggio, de Borromeo et de Cr�mone.
La victoire fran�aise met la R�publique de Venise � la merci d'une invasion, voire d'une disparition.
Machiavel a pu dire de cette bataille qu'en un jour les V�nitiens ont perdu ce qu'ils avaient mis 800 ans � arracher.
Maximilien Ier de Habsbourg fait de m�me avec les siennes et Jules II occupe la Romagne.
Les troupes v�nitiennes se ressaisissent.
Le 15 juillet 1509, les V�nitiens qui s'�taient fortifi�s dans Tr�vise, assi�ge Padoue sous les ordres d'Andr�a Gritti.
En septembre 1509, ils reprennent Padoue.
Maximilien Ier de Habsbourg vient mettre le si�ge devant Padoue le 15 septembre 1509, mais doit le lever 17 jours plus tard.
Bataille de Carpi
Eug�ne-Fran�ois de Savoie-Carignan Bless�
Mort de Louis Nicolas d'Albert
Mort du Marquis de Cambout
La bataille de Carpi ou combats de Carpi est la premi�re bataille de la guerre de Succession d'Espagne.
Au d�but de l'�t� 1701, L�opold Ier de Habsbourg d�cide d'envoyer en Italie une arm�e sous les ordres d'Eug�ne-Fran�ois de Savoie-Carignan, pour d�border les possessions espagnoles dans la p�ninsule.
Celle-ci se rassemble au Tyrol alors qu'une arm�e d'opposition compos�e de Fran�ais, Espagnols et Pi�montais, plac�e sous le commandement de Nicolas de Catinat se rassemble lentement entre le Chiesa et l'Adige.
Alors que des difficult�s d'approvisionnement entravent l'arm�e autrichienne, Nicolas de Catinat re�oit l'ordre de bloquer la route de l'arm�e autrichienne.
Il ne doit pas aller � sa rencontre en traversant la S�r�nissime R�publique de Venise rest�e neutre.
Il renonce ainsi � occuper des positions plus favorables comme le d�fil� de Rivoli.
Il doit se contenter d'intimider les Autrichiens en les emp�chant de traverser l'Adige, avec interdiction de d�clencher le premier les hostilit�s.
Invitant les autorit�s v�nitiennes � ne pas s'opposer au passage de ses troupes en �change de la bonne conduite de celles-ci, Eug�ne-Fran�ois de Savoie-Carignan commence sa marche le 27 mai 1701, par des chemins qu'aucune arm�e n'a utilis�s depuis Charles Quint.
Son objectif est de traverser l'Adige sans combattre et en �vitant de ravager les territoires du Duc de Nantua pour inciter ce prince � changer de camp.
S�r de la neutralit� v�nitienne, Nicolas de Catinat pensant que l'intention des Autrichiens est d'envahir les possessions espagnoles au sud du P� a concentr� ses troupes aux abords de Rivoli qu'occupe une partie de l'infanterie, le reste est dispers� sur le long de l'Adige, de part et d'autre de V�rone.
Pendant 5 semaines, Eug�ne-Fran�ois de Savoie-Carignan trompe son adversaire, et avance ses troupes vers le P�, faisant mine de vouloir traverser vers Ferrare o� il a entrepris de faire construire des ponts.
Ce mouvement engage Nicolas de Catinat � s'�taler encore davantage et � faire passer un corps d'infanterie de l'autre c�t� du P� � Seraglio.
Finalement, Eug�ne-Fran�ois de Savoie-Carignan, trouve un point de passage peu d�fendu plus haut sur l'Adige.
Trompant m�me sa propre arm�e, Eug�ne-Fran�ois de Savoie-Carignan change de direction, et traverse la rivi�re la nuit du 8 au 9 juillet 1701 � proximit� de Carpi en �milie-Romagne dans le nord de l'Italie.
L'infanterie ma�trise facilement le corps de dragons command� par Saint-Fremont qui d�fend la ville, et attaque aussit�t avec quelques canons le village de Castagno o� un corps d'infanterie est isol�.
Au bruit du canon, le comte de Tess�, �loign� seulement de 3 kilom�tres, accourt avec la cavalerie.
Un orage tr�s violent, qui transforme la plaine en mar�cage, oblige la cavalerie autrichienne � faire un large d�tour de 5 lieues.
Cela laisse un r�pit aux Fran�ais qui se regroupent.
Malgr� leur petit nombre, ils chargent plusieurs fois les Autrichiens.
Eug�ne-Fran�ois de Savoie-Carignan est bless�, mais ses troupes grossissent � chaque instant.
Louis Nicolas d'Albert et 7 officiers de son r�giment de Dragons meurent le 9 juillet 1701.
Le marquis de Cambout est bless� � mort.
Perdant au total 300 hommes et 50 officiers, accabl�s sous le nombre, les Fran�ais se replient, abandonnant Rivoli et les rives de l'Adige et se r�fugient derri�re l'Adda.
Les Autrichiens sont ma�tres de tous les pays entre Adige et Adda.
Ils p�n�trent dans le Bressan.
Nicolas de Catinat recule jusque derri�re l'Oglio.
Bien que beaucoup d'officiers aient approuv� cette retraite qui leur parait sage et que le manque de munition rend n�cessaire, les courtisans font regarder Nicolas de Catinat comme l'opprobre de la nation.
Fran�ois de Neufville, favori du Roi, persuade Louis XIV qu'il r�parera l'honneur national, et obtient le commandement de l'arm�e d'Italie.
Le r�giment d'infanterie dont Louis-Auguste d'Albert d'Ailly est colonel, est r�form�.
Louis-Auguste d'Albert d'Ailly obtient le r�giment de dragons de Louis Nicolas d'Albert, son fr�re.
Louis-Auguste d'Albert d'Ailly devient aide de camp de Louis le Petit Dauphin, Duc de Bourgogne
Si�ge de Montm�lian
Bataille de Cassano
Mort de Joseph de Lorraine
Mort du Prince de Wurtemberg
Eug�ne-Fran�ois de Savoie-Carignan bless�
En 1705, l'arm�e de Louis-Joseph de Vend�me, qui a re�u des renforts, tente de soumettre Victor-Am�d�e II de Savoie, r�cent alli� des Autrichiens.
Louis XIV met le si�ge devant Montm�lian en 1705.
Prise, la citadelle est d�truite en 1706, sur ordre du roi de France et le conseil de S�bastien Le Prestre.
La colline qui l'accueillait est aujourd'hui nue et est devenue un belv�d�re.
Victor-Am�d�e II de Savoie implore l'empereur de lui envoyer de l'aide.
Eug�ne-Fran�ois de Savoie-Carignan, commandant ces renforts, se trouve oppos� � Philippe de Vend�me, le grand prieur.
Cet homme, un dilettante, se laisse surprendre sur les rives de l'Adda par l'attaque f�roce d'Eug�ne-Fran�ois de Savoie-Carignan, mais celui-ci, plus � cause de la profondeur du fleuve qu'� cause de la r�sistance des Fran�ais, ne parvient pas � traverser et d�cide de reporter son attaque sur Cassano en Lombardie au nord de l'Italie.
Le 16 ao�t 1705, gr�ce � une marche forc�e, Louis-Joseph de Vend�me se trouve face � lui, ce qui ne d�tourne pas Eug�ne-Fran�ois de Savoie-Carignan de son id�e.
Il attaque si violemment l'arm�e fran�aise, que ses troupes parviennent � traverser et poussent leurs ennemis � l'eau.
Ceux-ci reviennent � la charge et obligent les Imp�riaux � retraverser.
Pendant une heure, malgr� les efforts Louis-Joseph de Vend�me qui se met 2 fois � la t�te de ses troupes pour les ramener au combat, les Fran�ais sont de nouveau repouss�s avec pertes au del� de l'Adda, par la droite de l'arm�e imp�riale.
L'attaque n'est pas moins rude sur le flanc droit des Fran�ais dont plusieurs bataillons sont renvers�s.
Mais les Autrichiens ne parviennent pas � y soutenir leur assaut car leurs armes � feu sont mouill�es apr�s avoir travers� la rivi�re. Ils sont repouss�s, et beaucoup p�rissent noy�s.
Les Autrichiens ne parvenant pas � traverser le fleuve, le combat tourne donc finalement � l'avantage des Fran�ais.
Louis-Joseph de Vend�me et Jacques �l�onor Rouxel gagnent cette bataille.
Eug�ne-Fran�ois de Savoie-Carignan qui se trouve durant l'action au plus fort du feu, ordonne le repli.
La bataille, commenc�e � une 13 heures, finit � 17 heures.
Les deux camps subissent de fortes pertes, mais les Fran�ais en sortent victorieux.
Gaston Jean-Baptiste de Choiseul, pr�sent � cette bataille re�oit un coup de fusil qui lui fracasse la main, puis un coup de mousquet au travers du corps qui lui brise la hanche.
Les Imp�riaux qui ne sont pas poursuivis, se retirent sur Treviglio.
La nuit du combat, Eug�ne-Fran�ois de Savoie-Carignan fait conduire les bless�s � Palazzuolo, o� selon un �tat du commissaire imp�rial, on en compte 4 347.
Ils laissent sur le champ de bataille 6 584 hommes et 1 942 prisonniers.
Parmi les bless�s se trouvent le prince Joseph de Lorraine et le prince de Wurtemberg qui meurent de leurs blessures.
Eug�ne-Fran�ois de Savoie-Carignan est �galement bless�.
La r�sistance fran�aise � Cassano ruine toutes les dispositions qu'avait prises Eug�ne-Fran�ois de Savoie-Carignan pour p�n�trer en Pi�mont et pour secourir Victor-Am�d�e II de Savoie, qui se trouve ainsi fort press�.
Joachim Adolphe de Seigli�re de Soy�court est bless� � la Bataille de Cassano.
Elle contraint les Imp�riaux � prendre leurs quartiers d'hiver sur place.
Passage du P�
Johann Pierre de Beaulieu attend Napol�on Ier � Valenza.
Napol�on Ier trompe Johann Pierre de Beaulieu en franchissant le P� � Plaisance, 80 km plus en aval, le 7 mai 1796 apr�s un petit engagement.
Johann Pierre de Beaulieu r�ussit n�anmoins � �viter d'�tre tourn�. Il franchit l'Adda et la Mincio mais il doit abandonner Milan.
Bataille du pont de Lodi
L'arm�e fran�aise ma�tre de l'Italie
Napol�on Ier borde alors l'Adda � hauteur de Pizzighetone mais les d�fenses ennemies sont trop puissantes � cet endroit-l�.
Napol�on Ier longe l'Adda vers le nord et parvient � Lodi le 21 flor�al an IV ou le 10 mai 1796.
L'arri�re-garde autrichienne comptant 17 500 hommes, command�e par Le g�n�ral Sebottendorf, cherche � y d�truire le pont.
Il a rang� ses soldats sur 2 lignes :
L'arm�e fran�aise qui arrive sur l'autre rive compte 9 500 hommes, dirig�s par Jean Lannes, Dallemagne et Andr� Mass�na.
Elle commence par �tablir ses canons le long de la rive, de mani�re � emp�cher les sapeurs autrichiens de faire sauter le pont.
Napol�on Ier envoie Kilmaine chercher un gu� au sud, et Beaumont au nord, avec leurs cavaliers.
Si tout va bien, ils d�boucheront dans 2 heures � droite et � gauche des Autrichiens, for�ant la d�cision.
Vers 18 heures, apercevant le gros de la division d'Andr� Mass�na qui s'approche en arri�re de Lodi, Napol�on Ier parcourt les rangs.
Il s'agit de convaincre les fantassins qui ont march� depuis 6 heures du matin de courir sous le feu vers l'autre rive, avec une chance sur 3 d'arriver vivant de l'autre c�t�.
Les Savoyards sous les ordres du chef de bataillon Dupas, commandant le 2e de carabiniers, sont les premiers � tenter de franchir le pont. Les Autrichiens retiennent leur feu puis tirent � mitraille sur les premiers qui s'engagent. Autour de Dupas, c'est un massacre, l'assaut se rompt.
Voyant que ce coup d'arr�t peut tout perdre, Andr� Mass�na, Dallemagne, Louis Alexandre Berthier et Cervoni, suivis par leurs aides de camp, se ruent en avant au cri de Vive la R�publique.
Cette charge des chefs fait merveille. En quelques minutes deux compagnies abordent l'autre rive.
Beaucoup sont tomb�s mais les tirs ont fait de la fum�e, habitu�s aux torrents de la montagne, les Savoyards ont remarqu� que la profondeur du fleuve diminue d'un coup. Ils se glissent dans le flot rapide et d�bouchent du pont en hurlant. La premi�re ligne autrichienne c�de.
Au moment o� la deuxi�me ligne contre-attaque, les cavaliers fran�ais du g�n�ral Beaumont qui ont fait le tour par le nord, chargent le flanc droit ennemi.
� 19 heures, la cavalerie napolitaine ne peut que prot�ger la retraite des Autrichiens.
L'arm�e d'Italie entre � Plaisance puis � Parme pour enfin gagner Milan le 15 mai 1796, en imposant de lourdes contributions au pays.
Le duch� de Parme subit de continuels passages de troupes qui s'affrontent.
Bataille d'Arcole
Les fran�ais, apr�s les succ�s de Dego, Mondovi, Lodi et Castiglione, subissent leur premier revers.
Andr� Mass�na et Pierre Augereau sont bouscul�s par Joseph Alvintzy, les for�ant � battre en retraite.
Napol�on Ier qui a perdu 3 batailles cons�cutives, envisage une retraite derri�re la rivi�re Adda, abandonnant le blocus de Mantoue.
Mais les Autrichiens commencent � patauger plut�t que de profiter de leurs occasions, Napol�on Ier d�cide d'attaquer � nouveau son adversaire.
Napol�on Ier laisse tr�s peu d'hommes � Claude-Henri Belgrand de Vaubois et Kilmaine pour d�fendre les positions � Ronco.
Napol�on Ier se pr�sente le 12 novembre 1796 devant l'Alpone, non loin d'Arcole, pour contourner Joseph Alvintzy et le stopper dans sa progression.
La ville d'Arcole est situ�e juste derri�re l'Adige.
Un pont est construit pour y parvenir mais les fran�ais sont mitraill�s de l'autre rive par les autrichiens, et meurent par dizaine.
Napol�on Ier bient�t rejoint ses soldats.
� mi-chemin, une canonnade retentit et le contingent fran�ais est d�cim�.
Muiron, un aide de camp, est tu� en prot�geant Napol�on Ier de son corps.
Celui-ci se retrouve presque seul sur la rive ennemie, attaqu� par des soldats croates.
L'adjudant-chef Belliard se pr�cipite avec ces hommes pour sortir son commandant de ce mauvais pas.
Ensemble, il retraverse l'Adige � la nage.
L'effet de surprise sur Joseph Alvintzy est manqu�.
Les plans d'attaques de Napol�on Ier sont d�jou�s mais il reprend confiance quand il apprend qu'Andr� Mass�na a repouss� Giovanni Provera.
L'arm�e fran�aise re�oit des renforts du g�n�ral Jean Mathieu Philibert S�rurier, lui conf�rant une petite sup�riorit� num�rique.
Fr�d�ric-Fran�ois-Xavier de Hohenzollern-Hechingen joue un r�le moins important dans cette bataille.
Le 17 novembre 1796, Napol�on Ier ordonne de simuler une attaque sur le flanc.
Les autrichiens imaginent d�j� l'arriv� d'un autre corps d'arm�e fran�ais.
Joseph Alvintzy, un septuag�naire exp�riment� mais fatigu� et sans vivacit� d'esprit, ordonne l'attaque de cette arm�e fictive.
Il pr�sente alors son flanc sud � Napol�on Ier.
Le g�n�ral autrichien Adolf Brabeck est tu�.
Joseph Alvintzy se replie sur le plateau de Rivoli.
Il a perdu 6 000 hommes en 6 jours.
Bataille de Magnano
Bataille de Cassano
Fran�ois Ier d'Autriche demande au Paul Ier de Russie de confier le commandement des troupes austro-russes � Alexandre Vassili�vitch Souvorov, le plus r�put� de ses g�n�raux.
Lorsqu'il arrive, au printemps, Alexandre Vassili�vitch Souvorov dispose de 50 000 Autrichiens et de 30 000 Russes.
Henri-Jean de Bellegarde est investi du commandement d'un corps d'arm�e fort de 25 000 hommes, charg� de maintenir les communications entre Alexandre Vassili�vitch Souvorov et Charles-Louis de Teschen.
Sur tous les fronts, les Fran�ais ont 150 000 hommes mais, en Italie, Barth�lemy Louis Joseph Sch�rer n'a sous ses ordres que 20 000 soldats qu'il a commis l'erreur de placer en un long cordon s'�tendant de la Valteline jusqu'� Plaisance au-del� de l'Adda.
Il a divis� son arm�e en 3 fronts :
Barth�lemy Louis Joseph Sch�rer et ses troupes sont battus le 6 avril 1799 � Magnano.
Barth�lemy Louis Joseph Sch�rer doit �vacuer l'Italie, remplac� par Jean-Victor Marie Moreau.
Barth�lemy Louis Joseph Sch�rer est traduit devant une commission d'enqu�te, et acquitt�.
Le Directoire, conscient des carences de Barth�lemy Louis Joseph Sch�rer, le remplace courant d'avril 1799 par Jean-Victor Marie Moreau.
En arrivant sur le terrain, Jean-Victor Marie Moreau sait, qu'� moins d'un miracle, il ne pourra pas remporter la victoire.
Jean-Victor Marie Moreau esp�re l'arriv�e rapide des renforts promis par le Directoire afin de lancer une offensive surprise.
De son c�t�, Alexandre Vassili�vitch Souvorov, qui vient d'entrer en Italie, d�cide de l'attaquer imm�diatement.
Michael Friedrich Benedikt von Melas commande les troupes autrichiennes mais il est sous les ordres d'Alexandre Vassili�vitch Souvorov.
L'aile droite est sous les ordres du g�n�ral Paul Kray, flanqu� des g�n�raux russes Pierre de Bagration et Alexandre Korsakov.
Alexandre Vassili�vitch Souvorov ordonne � Paul Kray de s'emparer de Brescia le 17 avril 1799.
Michael Friedrich Benedikt von Melas doit s'avancer vers Ciari, Fr�d�ric Hermann Othon de Hohenzollern-Hechingen doit occuper Cr�mone.
Le 20 avril 1799, Peter-Carl Ott, Pierre de Bagration et Alexandre Korsakov arrivent devant Brescia, d�fendu par les 1 200 soldats du chef de brigade Boucret.
Apr�s quelques heures de canonnade, la garnison fran�aise d�cide de se rendre.
Le 20 avril 1799, Fr�d�ric Hermann Othon de Hohenzollern-Hechingen s'empare sans coup f�rir de Cr�mone, capturant par la m�me occasion 11 bateaux charg�s d'artillerie et d'approvisionnements.
Les troupes fran�aises qui restent se retranchent derri�re l'Adda.
C'est � ce moment que Barth�lemy Louis Joseph Sch�rer rend officiellement le commandement � Jean-Victor Marie Moreau.
Le premier choc de la bataille a lieu le 25 avril 1799 lorsque l'avant-garde russe, command�e par Pierre de Bagration, tente de s'emparer du pont de Lecco, � la limite nord du front.
Les Russes sont mis en �chec par Jean Mathieu Philibert S�rurier, qui tient bon malgr� la sup�riorit� num�rique de l'arm�e ennemie.
La premi�re journ�e se termine par une victoire fran�aise.
Le 26 avril 1799 au matin, Alexandre Vassili�vitch Souvorov met ses pions en place pour une attaque soutenue.
Pierre de Bagration est toujours devant le pont de Lecco, l'Autrichien Seckendorf s'est plac� face aux troupes du g�n�ral Laboissi�re � Lodi, Michael Friedrich Benedikt von Melas � Treviglio, Johann Zoph � Canonica, Wakassovitch � Brivio, Peter-Carl Ott devant le ch�teau de Trezzo.
Alexandre Vassili�vitch Souvorov lui-m�me s'est install� face au centre du front fran�ais � Cassano, lieu de commandement du g�n�ral Jean-Victor Marie Moreau.
Les Fran�ais sont trop peu nombreux pour r�ussir � contenir l'attaque ennemie.
Wakassovitch s'empare de Brivio et r�ussit � franchir l'Adda.
Les soldats, qui tenaient la place, font retraite vers Cassano o� Jean-Victor Marie Moreau cherche � concentrer ses troupes.
Plus tard, dans la journ�e, les Autrichiens parviennent � jeter un pont sur l'Adda pr�s du ch�teau de Trezzo, que Peter-Carl Ott et Johann Zoph traversent ais�ment.
Le 26 avril 1799 se termine donc par une d�t�rioration des positions fran�aises.
Le 8 flor�al an VII soit le 27 avril 1799 au matin, Peter-Carl Ott et Johann Zoph attaquent un bataillon fran�ais qui se replie � Pozzo mais parvient � relancer une contre-offensive victorieuse.
Peter-Carl Ott est repouss�.
Pour les Fran�ais, ce sera cependant la seule victoire de la journ�e.
Ailleurs, le front est coup� en 3 parties par les troupes de Wakassovitch et Chastelet.
Le coup fatal est port� lorsque Michael Friedrich Benedikt von Melas attaque les retranchements fran�ais du canal de Retorto o� ils couvrent la t�te de pont de Cassano.
Ils sont refoul�s mais retraitent en bon ordre et parviennent m�me � mettre le feu au pont afin d'arr�ter la poursuite de l'ennemi.
C'est dans ces conditions que Jean-Victor Marie Moreau d�cide de se retirer vers Milan.
Il fait installer plusieurs batteries d'artillerie bombardant les Austro-Russes pendant la retraite de ses hommes.
Cette tactique lui permet de sauver l'arm�e fran�aise d'un d�sastre qui s'annon�ait.
Les pertes fran�aises sont tout de m�me de 2 000 morts et 3 000 prisonniers.
La bataille de Cassano est gagn�e par les Russes mais Jean-Victor Marie Moreau a tout de m�me limit� les d�g�ts.
Jean-Victor Marie Moreau retraite vers Milan et couvre la ville afin de faire �vacuer les membres du gouvernement cisalpin et tous les Milanais compromis avec les Fran�ais.
Le 29 avril 1799, Alexandre Vassili�vitch Souvorov entre dans Milan pendant que Jean-Victor Marie Moreau se retire vers G�nes et la Ligurie.
Batailles de Solf�rino, de Medole et de de San Martino
L'arm�e d'Italie se tourne vers l'Est pour poursuivre l'ennemi. La progression est ralentie par les destructions op�r�es par les troupes autrichiennes et par les pluies incessantes.
L'ennemi se replie successivement derri�re plusieurs affluents du P� : l'Adda, l'Oglio et la Chiese.
Gr�ce � l'efficacit� du g�nie fran�ais, le gros de l'arm�e franco-sarde traverse le Chiese au cours de la journ�e du 22 juin 1859 et elle se pr�pare � avancer rapidement vers le Mincio, encourag�e par les rapports des patrouilles de reconnaissance qui ont pu v�rifier le repli de l'ennemi.
Dans la matin�e du 23 juin 1859, Fran�ois-Joseph Ier d'Autriche donne l'ordre � ses troupes de se tourner vers l'ouest.
Elles regagnent la rive droite du Mincio o� elles reviennent occuper les positions abandonn�es quelques jours auparavant.
Cette man�uvre est destin�e � :
Aux premi�res heures du 23 juin 1859, Napol�on III et Victor-Emmanuel II de Savoie se rencontrent sur la colline de Lonato pour discuter d'une d�p�che envoy�e par l'imp�ratrice Eug�nie de Montijo, qui contient d'inqui�tantes informations sur d'importants mouvements de troupes prussiennes sur le Rhin.
La lettre contient une invitation pressante � la conclusion rapide de la campagne d'Italie afin que l'arm�e fran�aise puisse rentrer chez elle pour d�fendre ses fronti�res.
Apr�s un bref entretien priv�, les souverains regagnent leurs quartiers g�n�raux.
Les combats des patrouilles de reconnaissance qui se produisent tout au long de la journ�e convainquent les Autrichiens qu'ils ont intercept� les premi�res avant-gardes franco-sardes et ceux-ci pensent avoir �tabli le contact avec l'arri�re-garde autrichienne, tout comme � Melegnano.
En fait, les 2 arm�es sont d�ploy�es sur deux lignes parall�les tr�s proches l'une de l'autre et qui s'�tend du Nord au Sud sur 20 km.
Selon le plan �tabli, � l'aube du 24 juin 1859, l'arm�e franco-sarde se d�place vers l'Est afin de se d�ployer le long de la rive droite du Mincio.
Comme premi�re �tape matinale, l'arm�e fran�aise aurait d� occuper :
Apr�s quelques kilom�tres, in�vitablement, les colonnes franco-sardes entrent en contact, les unes apr�s les autres, avec les troupes autrichiennes, fortement implant�es pr�cis�ment � :
En quelques heures, de 4 h � 7 h, de violents combats ont lieu qui conduisent � une m�l�e g�n�rale, chaotique et tr�s violente, qui dure plus de 18 heures.
L'absence de plan de bataille ordonn�, l'�quilibre des forces en jeu et la d�termination f�roce des 2 camps sont les principales causes du carnage.
De nombreux combats se d�roulent � Medole, Solf�rino et San Martino qui correspondent, respectivement, aux secteurs sud, central et nord d'un vaste front.
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