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Événements contenant la ou les locutions cherchées



37 événements affichés, le premier en 1583 - le dernier en 1879


Louise de Châtillon-Coligny

Mariage de Guillaume Ier d'Orange-Nassau avec Louise de Châtillon-Coligny

Guillaume Ier d'Orange-Nassau est veuf de Charlotte de Bourbon-Vendôme.

Louise de Châtillon-Coligny est veuve de Charles-Louis de Téligny.

Guillaume Ier d'Orange-Nassau épouse en 1583 Louise de Châtillon-Coligny, fille de Gaspard II de Coligny et de Charlotte de Laval. Leur enfant est :



Naissance de Frédéric-Henri d'Orange-Nassau

Frédéric-Henri d'Orange-Nassau naît à Delft le 29 janvier 1584, fils de Guillaume Ier d'Orange-Nassau et de Louise de Châtillon-Coligny.

Maurice d'Orange-Nassau, son frère aîné, assure l'éducation du jeune Frédéric Henri de d'Orange-Nassau.



Début du siège de la ville de Breda

Prise de Bahia

Ambrogio Spinola entreprend le 27 ou 28 août 1624 alors le siège de la ville de Breda contre toute attente, Maurice de Nassau lui-même n'y croyant pas.

Alors que le blocus de la ville de Breda est complet, la Marine de la république des Provinces-Unies prend Bahia aux Espagnols.

Isabelle Claire Eugénie d'Espagne signale à Philippe IV d'Espagne que cette guerre est très risquée pour le pays vu les difficultés financières qu'il rencontre déjà.

Le siège est rondement mené par Ambrogio Spinola qui encercle la ville de Bréda par un ensemble d'immenses fortifications construites rapidement, qui seront longtemps admiré comme une pièce maîtresse de l'art militaire.

Ambrogio Spinola dispose d'entre 15 000 et 20 000 hommes pour le siège.

Le Conseil d'Espagne considère que ce siège est périlleux, mais Philippe IV d'Espagne laisse le choix de continuer celui-ci à Isabelle Claire Eugénie d'Espagne.

Frédéric-Henri d'Orange-Nassau fait tout pour sauver la ville.

Les Hollandais rassemblent leurs forces pour secourir la ville mais sans succès.

Ils vont alors attaquer le château d'Anvers, où ils connaissent également un échec.

Des sapeurs sont utilisés pour détruire les fortifications avancées, et cela avec succès, jusqu'à fin 1624 où le mauvais temps noie leur travail.

Toutes les troupes espagnoles sont concentrées sur ce siège, ce qui laisse à découvert le reste des possessions, comme la Bourgogne.

Pendant presque toute la durée du siège, Philippe IV d'Espagne fait part à Isabelle Claire Eugénie d'Espagne de son inquiétude sur le risque de ce siège, mais en la laissant toujours décider elle-même de la poursuite ou non des opérations.

300 000 ducats seront envoyés vers novembre 1624 pour entretenir les troupes et donc pour prévenir les éventuelles désertions.

Mais les réserves de nourriture de la ville assiégée sont plus grandes que prévu.

Ambrogio Spinola est spécialiste des longs sièges.

En décembre 1624, les Anglais semblent vouloir s'en mêler en levant une armée de 12 000 fantassins sous le commandement d'Ernest von Mansfeld, sous le prétexte de remettre l'électeur palatin dans ses États.

Cela inquiète grandement Isabelle Claire Eugénie d'Espagne et Philippe IV d'Espagne.



Mariage de Frédéric-Henri d'Orange-Nassau avec Amélie de Solms-Braunfels

La vie de jeune adulte de Frédéric-Henri d'Orange-Nassau est marquée principalement par son éducation rigoureuse ponctuée d'amours homosexuels à l'intérieur de l'armée néerlandaise et ce jusqu'à la quarantaine.

Maurice d'Orange-Nassau n'étant devenu père que par son union extra maritale, pour assurer la pérennité de la maison d'Orange-Nassau, contraint Frédéric-Henri à se marier.

Frédéric-Henri d'Orange-Nassau épouse en 1625 Amalia von Solms-Braunfels ou Amélie de Solms-Braunfels (1602-1675), fille du Comte Jean Albert Ier von Solms-Braunfels. Leurs enfants sont :


Frédéric-Henri d'Orange-Nassau

Mort de Maurice d'Orange-Nassau

Frédéric-Henri d'Orange-Nassau Stathouder de Hollande, Zélande, Gueldre, d'Utrecht, Overrijssel

Frédéric-Henri d'Orange-Nassau Capitaine et amiral de l'Union

Maurice d'Orange-Nassau meurt le 23 avril 1625.

C'est de son prénom que vient le nom de l'île Maurice.

Maurice d'Orange-Nassau est un des premiers capitaines de son époque. Il laisse la réputation d'un ambitieux froid et cruel.

Frédéric-Henri d'Orange-Nassau, son demi-frère, devient stathouder dans 5 des 7 provinces :

Il lui succède également comme capitaine et amiral de l'Union.

Frédéric-Henri d'Orange-Nassau est presque un aussi bon général que son frère aîné.

En tant qu'homme d'État et de politicien, il montre de grandes capacités de tacticien.

Pendant les 22 ans qu'il demeure aux services des États généraux des Provinces-Unies, la puissance du stathoudérat est à son apogée.

Cette période, qui se poursuivit jusqu'au début du XVIIIe siècle, sera qualifiée par les néerlandais d'âge d'or des Provinces-Unies.



Naissance de Louise-Henriette d'Orange-Nassau

Louise-Henriette d'Orange-Nassau naît en 1627, fille de Frédéric-Henri d'Orange-Nassau et d'Amélie de Solms-Braunfels.


Henri Van den Bergh

Siège de Groenlo

Groenlo, alors sous domination espagnole, est une cité de taille modeste, bien fortifiée et défendue.

Comme Oldenzaal, Bredevoort et Lingen, elle sert au contrôle de l'est du pays et jouit d'une position stratégique dans la province de Gueldre pour le commerce avec l'Allemagne.

Au lieu de se contenter de la nette domination de la flotte hollandaise sur la flotte espagnole, les États généraux des Provinces Unies des Pays-Bas décide d'engager une offensive terrestre contre Groenlo.

Matthijs Dulken, militaire expérimenté, commande la garnison espagnole de Groenlo, avec 1 200 soldats d'infanterie plus des civils engagés et 100 cavaliers commandés par Lambert Verreyken.

Ayant été bien approvisionné, Matthijs Dulken ordonne de renforcer les défenses de la cité.

La ligne de défense terminée, Groenlo est bombardée par les attaquants, pendant que des groupes de sapeurs hollandais, anglais et français creusent des tranchées en direction de la cité.

François de L'Aubespine, colonel lors de ce siège, commande un des 3 régiments français qui servent Frédéric-Henri d'Orange-Nassau.

L'artillerie hollandaise cause de nombreuses pertes et provoque d'importants dégâts qui sont continuellement réparées par les assiégés.

Matthijs Dulken lui-même est blessé à l'épaule, et doit confier le commandement à Lambert Verreyken.

Lambert Verreyken, avec sa cavalerie, attaque sans grand succès les positions ennemies, spécialement les tranchées et le fortin d'Ernest Casimir de Nassau-Dietz.

À Groenlo, par la négligence d'un soldat, deux barils de poudre explosent, causant 40 morts chez les assiégés.

Entre temps, les sapeurs anglais poussent leurs tranchées jusqu'au fossé qui entourait Groenlo, alimenté par la rivière Slinge. Pour faciliter la traversée du fossé, ils détruisirent l'écluse au nord de la cité, ce qui provoque la baisse du niveau de l'eau.

Les assaillants essaient de traverser le fossé en construisant un barrage, mais ce dernier est incendié par les défenseurs.

Finalement, avec l'appui de 2 pièces d'artillerie, les attaquants réussissent à terminer deux barrages au prix de nombreuses pertes.

Après avoir passé le fossé, ils commencent à miner les murs de Groenlo, sous le feu constant tiré depuis la ville.

Entre temps, Henri Van den Bergh arrive au voisinage de la cité avec son armée, à laquelle il a ajouté 1 800 mercenaires allemands, dépassant en nombre les forces de son cousin Frédéric-Henri d'Orange-Nassau.

Cependant, à cause du manque d'argent, cette armée manque de moyens et arrive à Groenlo trop tard pour affronter les attaquants dans une bataille en terrain ouvert.

Il conçoit un plan pour couper les lignes d'approvisionnement hollandaises, mais ce plan échoue à cause de mésententes entre les tercios espagnols et italiens.

Henri Van den Bergh décide alors d'attaquer la ligne de fortifications et de pénétrer dans la cité. Son attaque contre les forces écossaises, victorieuse au début, est repoussée par la contre-attaque des troupes de l'officier Morre, qui oblige les espagnols à se retirer.

Frédéric-Henri d'Orange-Nassau essaie de négocier la reddition de Matthijs Dulken, en lui faisant valoir l'impossibilité de recevoir des renforts depuis l'extérieur, mais celui-ci rejette les propositions.

Le 18 août 1627, les troupes anglaises passent le fossé et ouvrent une brèche dans la muraille de Groenlo, par où ils essaient de pénétrer dans la cité.

Par 3 fois, ils se lancent à l'attaque, mais sont repoussés par les tirs de mousquets de Lambert Verreyken, qui causent de nombreux morts parmi les Anglais.

Au bout d'un mois de siège, Matthijs Dulken, comprend qu'il ne pourra pas continuer à repousser longtemps les attaques, faute d'hommes et d'armes.

Il envoie des délégués pour négocier un armistice. 3 jours après, les deux parties signent un traité selon lequel la cité restera au pouvoir des Provinces Unies.

Matthijs Dulken abandonne la cité et ses troupes. Les troupes et les citoyens espagnols de Groenlo peuvent partir avec leurs armes et leurs biens. On leur fournit des moyens de transport pour le départ.

La cité est occupée par une garnison de l'armée de Frédéric-Henri d'Orange-Nassau ;

Les fortifications sont rasées et les tranchées comblées pour prévenir leur utilisation dans de futures attaques.

Groenlo resta au pouvoir des Provinces Unies jusqu'à la fin de la guerre.


Frédéric-Henri d'Orange-Nassau et Ernst Casimir au siège de Bois-le-Duc – par Pauwels van Hillegaert

Siège de Bois-le-Duc

Prise d'Amersfoort

Frédéric-Maurice Ier de La Tour d'Auvergne Gouverneur de Maestricht

Bois-le-Duc est le principal bastion du Roi d'Espagne dans la région.

Bernard de Saxe-Weimar est présent lors du siège de Bois-le-Duc.

D'importantes sommes d'argent sont investies pour renforcer sa défense, confiée à Anton ou Anthonie Schetz, Comte de Grobbendonck, Gouverneur militaire de la ville.

Les fossés qui entourent la place rendent les assauts improbables.

Creuser des tranchées et des mines souterraines dans les sols marécageux des environs est impensable.

Frédéric-Henri d'Orange-Nassau se présente devant la ville en avril 1629 avec une armée de 24 000 fantassins, 4 000 cavaliers et 4 000 miliciens

Pour assécher les marais, Frédéric-Henri d'Orange-Nassau détourne :

qui les alimentent.

Une digue de 40 kilomètres est dressée, des moulins mus par des chevaux achèvent d'assécher les terrains.

Des tranchés peuvent alors être creusées.

Pendant ce temps, les autorités espagnoles envoient une armée de renfort commandée par Henri van den Bergh, Comte de Bergh, cousin de Frédéric-Henri d'Orange-Nassau, qui arrive en juillet 1629.

Henri Van den Bergh comprend que le siège est trop avancé pour qu'il puisse le lever.

Henri Van den Bergh essaie de détourner l'attention du stathouder en prenant la ville d'Amersfoort le 14 août 1629.

Les lignes de ravitaillement d'Henri Van den Bergh sont coupées par la Wesel et il doit se retirer en laissant Bois-le-Duc à la merci des rebelles.

Les assaillants bombardent constamment la ville.

Le 18 juillet 1629, le fort Isabella tombe.

Le 19 juillet 1629, c'est au tour du fort Anthon. Mais les 2 500 hommes la garnison résistent toujours.

Les Hollandais poursuivent leurs travaux de sape jusque sous la porte sud.

Le 11 septembre 1629, une explosion importante ouvre une brèche dans les murs.

Le 14 septembre 1629, le gouverneur Anthonie Schetz capitule.

La perte de Bois-le-Duc porte un grand coup au prestige des Espagnols dont les positions dans le nord du pays sont sérieusement menacées.

Aujourd'hui encore, le duché de Brabant reste divisé en deux provinces :

Cette dernière province sera toujours durement traité par les Provinces-Unies étant considérée comme pays conquis.

Frédéric-Henri d'Orange-Nassau continue sa campagne avec l'aide de son cousin et ancien rival Henri van den Bergh, qui change de camp après avoir été accusé de trahison.

Frédéric-Maurice Ier de La Tour d'Auvergne participe avec les Hollandais au siège de Bois-le-Duc en 1629.

Il reçoit en récompense le gouvernement de Maastricht.



Échec de Frédéric-Henri d'Orange-Nassau à Dunkerque

Frédéric-Henri d'Orange-Nassau subit un échec à Dunkerque en 1631.


Bataille de la Slaak

Bataille de la Slaak

En réaction à une tentative terrestre néerlandaise de capturer Dunkerque plus tôt en 1631, Isabelle Claire Eugénie d'Espagne, qui gouverne les Pays-Bas méridionaux pour Philippe IV d'Espagne, donne l'ordre à une armée espagnole transportée sur une flotte de barges d'occuper l'île de Goeree-Overflakkee par surprise.

Isabelle Claire Eugénie d'Espagne souhaite en particulier maîtriser les grandes forteresses situées de l'autre côté du détroit de Volkerak.

La forteresse du côté continental a une valeur particulière au niveau de la propagande, car c'est une ville nouvellement fondée nommée Willemstad en hommage à Guillaume Ier d'Orange-Nassau.

Plus important encore, l'occupation espagnole permettrait d'effectuer un blocus d'Hellevoetsluis, principal port néerlandais situé au nord d'Overflakkee sur l'île de Voorne-Putten et d'isoler la province de Zélande du reste des Provinces-Unies.

Une flotte espagnole constituée de 90 navires, en majorité de petits transports de troupes, et de 6 000 hommes sous la direction de Don Francisco de Moncada, Marquis d'Aytona, mais en fait commandée par le comte Jean VIII de Nassau-Siegen, un cousin catholique de la Maison d'Orange-Nassau, part d'Anvers.

Toutefois, le projet ne peut être maintenu secret.

une flotte néerlandaise de 50 navires, commandée par le vice-amiral Marinus Hollare et également composée en grande partie de petits bâtiments fluviaux mais comprenant quelques navires de guerre, intercepte les Espagnols sur l'Escaut oriental les 12 septembre 1631.

Voyant leur itinéraire prévu bloqué, les Espagnols essaient alors de s'emparer de l'île plus méridionale de Tholen, mais cette tentative est contrecarrée par un régiment de 2 000 mercenaires anglais et écossais, sous le commandement du colonel Thomas Morgan, venus de la forteresse continentale de Steenbergen en profitant de la marée basse pour gagner l'île, et qui sont arrivés juste à temps pour empêcher un débarquement.

Jean VIII de Nassau-Siege, dans son désespoir, prend alors l'audacieuse décision d'essayer de passer furtivement près de la flotte néerlandaise pendant la nuit du 12 au 13 septembre 1631 et ainsi de réaliser le but originel de l'expédition.

Le mouvement espagnol est toutefois repéré en dépit du brouillard et les Néerlandais permettent à la flotte ennemie de passer avant de les attaquer soudainement par l'arrière dans le canal de la Slaak de Volkerak.

Les Espagnols sont mis en déroute, des centaines d'hommes se noient alors qu'ils tentent de quitter les navires et ceux qui réussissent à gagner la côte sont capturés par les troupes néerlandaises et anglaises qui les attendent.

Plus de 4 000 hommes, ainsi que la majorité de la flotte espagnole, sont ainsi capturés.

Jean VIII de Nassau-Siege et 2 navires qui l'accompagnent réussissent à s'échapper et à regagner Anvers et une 15 de navires espagnols en tout, parviennent à s'enfuir.

L'Amirauté d'Amsterdam suggère de jeter tous les prisonniers à la mer, méthode alors officiellement prescrite par les Néerlandais pour se débarrasser des combattants ennemis capturés en mer, afin de décourager d'autres tentatives, mais le stathouder Frédéric-Henri d'Orange-Nassau l'interdit.

Cette bataille est une victoire des Provinces-Unies sur l'Espagne grâce à laquelle les Néerlandais empêchent l'armée espagnole de diviser les Provinces-Unies en 2.

Elle influence une décision prise en 1632 pour entamer des négociations en vue de signer un traité de paix avec les Provinces-Unies mais ces pourparlers finissent par échouer.



Débuts d'Armand-Frédéric de Schomberg

En 1632, Armand-Frédéric de Schomberg se fait connaître sous les ordres de Frédéric-Henri d'Orange-Nassau.



Prise de Maastricht

Mort de Louis de Valençay Marquis d'Estiaux

En 1632, Frédéric-Henri d'Orange-Nassau assiège Maastricht et la prend aux Espagnols après 74 jours.

Louis de Valençay meurt tué devant Maestricht, au service de la Hollande.

Il permet alors à Maastricht de s'intégrer aux Provinces-Unies protestantes.

Le condominium entre le duc de Brabant et Liège est rétabli.

Les conditions de la paix sont de donner aux protestants et catholiques les mêmes droits afin que les deux aient la liberté religieuse.



Bataille des Avins

Les combats se portent vers les Pays-Bas.

Urbain de Maillé-Brézé reçoit le commandement de l'armée des Flandres avec Gaspard III de Coligny.

Gaspard III de Coligny et Urbain de Maillé-Brézé vainquent les Espagnols commandés par Thomas-François de Savoie-Carignan aux Avins ou Avein ou Avin (Clavier) (40 km au sud ouest de Liège, 50 km au sud-est de Namur) le 20 mai 1635.

Les Espagnols perdent 5 000 hommes dont 900 sont faits prisonniers et 14 canons.

Philippe de La Mothe-Houdancourt participe à ce combat.

Philippe de La Mothe-Houdancourt combat au siège de Louvain en 1635.

Philippe de La Mothe-Houdancourt Participe à la prise du fort de Schenk en 1635.

Gaspard III de Coligny et Urbain de Maillé-Brézé se joignent ensuite à Frédéric-Henri d'Orange-Nassau.

Mais des atermoiements franco hollandais permettent aux Espagnols de recevoir des renforts et de sauver leurs possessions.



Bataille de Skink

Frédéric-Henri d'Orange-Nassau est vainqueur à Skink en 1636.



Naissance d'Henriette-Catherine d'Orange-Nassau

Henriette-Catherine d'Orange-Nassau naît à La Haye le 10 février 1637, fille de Frédéric-Henri d'Orange-Nassau et d'Amélie de Solms-Braunfels.



Naissance d'Henriette-Catherine d'Orange-Nassau

Henriette-Catherine d'Orange-Nassau naît en 1637, fille de Frédéric-Henri d'Orange-Nassau, Prince d'Orange-Nassau (1584-1647) et d'Amélie de Solms-Braunfels (1602-1675).


Maarten Tromp - gravure de Jan Lievens

Maarten Tromp Lieutenant Amiral

Maarten Tromp marque alors une pause de quelques années au service de la marine.

Le lieutenant amiral Philips Van Dorp et d'autres officiers sont limogés pour incompétence.

Maarten Tromp est promu au rang de lieutenant amiral des flottes de Hollande et de Frise occidentale en 1637.

Bien qu'officiellement sous les ordres de l'amiral général Frédéric-Henri d'Orange-Nassau, Maarten Tromp exerce en réalité les fonctions de commandant suprême de la flotte néerlandaise, le stathouder ne combattant jamais en mer.



Premières armes d'Henri-Charles II de La Trémoïlle

En 1638, Henri-Charles II de La Trémoïlle fait ses premières armes en Hollande auprès de Frédéric-Henri d'Orange-Nassau, son oncle.



Armand-Frédéric de Schomberg à nouveau au service Frédéric-Henri d''Orange-Nassau

De 1639 à 1650, Armand-Frédéric de Schomberg sert à nouveau Frédéric-Henri d'Orange-Nassau

Armand-Frédéric de Schomberg sert son fils Guillaume II d'Orange-Nassau.



Bataille de Gennep

Frédéric-Henri d'Orange-Nassau est vainqueur à Gennep en 1640.



Bataille de Sas-de-Gand

Frédéric-Henri d'Orange-Nassau est vainqueur à Sas-de-Gand en 1640.



Frédéric-Henri d'Orange-Nassau Stathouder de Drenthe

Frédéric-Henri d'Orange-Nassau devient Stathouder de Drenthe en 1640.



Bataille de Hulst

Frédéric-Henri d'Orange-Nassau est vainqueur à Hulst en 1645.


Mariage de Frédéric-Guillaume Ier de Brandebourg avec Louise-Henriette d'Orange-Nassau - par Jan Mytens - Musée des Beaux-Arts de Rennes

Mariage de Frédéric-Guillaume Ier de Brandebourg avec Louise-Henriette d'Orange-Nassau

Frédéric-Guillaume Ier de Brandebourg épouse en décembre 1646 Louise-Henriette d'Orange-Nassau, fille de Frédéric-Henri d'Orange-Nassau. Leurs enfants sont :



Mort de Frédéric-Henri d'Orange-Nassau

Guillaume II d'Orange-Nassau Stathouder des Provinces-Unies

Frédéric-Henri d'Orange-Nassau meurt à La Haye le 14 mars 1647.

Ses funérailles sont somptueuses.

Il est inhumé à Delft près de son père.

Guillaume II d'Orange-Nassau devient stathouder des Provinces-Unies : Hollande, Zélande, Utrecht, Gueldre, Overijssel, Groningue et Drenthe le 14 mars 1647.



Indépendance des Provinces-Unies

Pendant toute la durée de son gouvernement, son alliance avec la France est le pivot de la politique étrangère de Frédéric-Henri d'Orange-Nassau.

Mais vers la fin de sa vie, il choisit de sacrifier cette alliance pour signer une paix séparée avec L'Espagne qui reconnaît l'indépendance des Provinces-Unies en 1648.


Jean-Georges II d'Anhalt-Dessau Henriette-Catherine d'Orange-Nassau

Mariage de Jean-Georges II d'Anhalt-Dessau avec Henriette-Catherine d'Orange-Nassau

Jean-Georges II d'Anhalt-Dessau épouse à Groningue le 9 septembre 1659 Henriette-Catherine d'Orange-Nassau ou Henriette van Oranje-Nassau (1637-1708) fille de Frédéric-Henri d'Orange-Nassau et d'Amélie de Solms-Braunfels. Leurs enfants sont :


Anne Ire de Grande-Bretagne

Mort de Guillaume III d'Orange-Nassau

Anne Ire de Grande-Bretagne Reine d'Angleterre, d'Écosse et d'Irlande

Jean Guillaume Friso de Nassau-Dietz Prince d'Orange

Guillaume III d'Orange-Nassau meurt le 8 mars 1702, des suites d'une chute de cheval. La lignée d'Orange-Nassau s'éteint.

Anne Ire de Grande-Bretagne, sœur de Marie II d'Angleterre, devient Reine d'Angleterre, d'Écosse et d'Irlande le 19 mars 1702, au détriment de son demi-frère Jacques François Édouard Stuart.

Elle est couronnée à Londres le 23 avril 1702.

Sidney Godolphin n'est pas un favori d'Anne Ire de Grande-Bretagne. Cependant Sidney Godolphin estnommé à son ancien poste, suivant les vives recommandations de John Churchill.

Jean Guillaume Friso de Nassau-Dietz est l'aîné dans les prétendants à la succession des Pays-Bas. Il a pour ascendant :

Les provinces qui sont gouvernées par Guillaume III d'Orange-Nassau-Nassau : la Hollande, Utrecht, Gelderland et Overijssel, restent sans gouverneur.

Selon la volonté de Guillaume III d'Orange-Nassau-Nassau, Jean Guillaume Friso de Nassau-Dietz devient Prince d'Orange en 1702.

Les relations si proches entre l'Angleterre et les Pays-Bas prennent de la distance.



Mariage de Guillaume II des Pays-Bas avec Anne Pavlovna de Russie

Guillaume II des Pays-Bas épouse en 1816 Anne Pavlovna de Russie, fille de Paul Ier de Russie, et de Sophie-Dorothée de Wurtemberg. Leurs enfants sont :



Naissance d'Henri d'Orange-Nassau

Willem Frederik Henri des Pays-Bas du Luxembourg ou Henri d'Orange-Nassau naît au palais de Soestdijk le 13 juin 1820, fils de Guillaume II des Pays-Bas avec et d'Anne Pavlovna de Russie.


Henri d'Orange-Nassau - jeune

Henri d'Orange-Nassau Officier dans la marine néerlandaise

Henri d'Orange-Nassau entre dans la marine néerlandaise comme officier.



Rencontre d'Henri d'Orange-Nassau avec Amélie Maria da Gloria d'Augusta de Saxe-Weimar-Eisenac

Amélie Maria da Gloria d'Augusta de Saxe-Weimar-Eisenac rencontre Henri d'Orange-Nassau aux côtés de Willem Alexandre Frederik d'Orange-Nassau, son frère, sur l'île de Madère en 1847.



Henri d'Orange-Nassau Lieutenant-représentant de Guillaume III des Pays-Bas au Grand-Duché

Henri d'Orange-Nassau est promu vice-amiral de la flotte néerlandaise.

En 1850, Henri d'Orange-Nassau est nommé lieutenant-représentant de Guillaume III des Pays-Bas, son frère aîné, grand-duc en titre, au Grand-Duché.

Henri d'Orange-Nassau conservera ce poste jusqu'à son décès.


Amélie Maria da Gloria d'Augusta de Saxe-Weimar-Eisenach

Mariage d'Henri d'Orange-Nassau avec Amélie Maria da Gloria d'Augusta de Saxe-Weimar-Eisenach

Henri d'Orange-Nassau épouse à Weimar le 9 ou 19 mai 1853 Amélie Maria da Gloria d'Augusta de Saxe-Weimar-Eisenach (1830-1872), fille de Bernard de Saxe-Weimar-Eisenach.

Ils s'installent au château de Walferdange au Luxembourg, où Henri d'Orange-Nassau est Stathouder.

Amélie Maria da Gloria d'Augusta de Saxe-Weimar-Eisenach est active dans les organismes de bienfaisance devenant très populaire.

C'est grâce à Amélie Maria da Gloria d'Augusta de Saxe-Weimar-Eisenach les jardins d'enfants, à l'initiative de Friedrich Fröbel, sont introduits dans la région.


Marie-Anne d'Anhalt-Dessau

Mariage de Frédéric-Charles de Prusse avec Marie-Anne d'Anhalt-Dessau

Friedrich Karl ou Frédéric-Charles de Prusse (1828-1885) épouse à Dessau en Allemagne le 29 novembre 1854 Marie-Anne d'Anhalt-Dessau (1837-1906), fille de Léopold IV d'Anhalt-Dessau. Leurs enfants sont :


Henri d'Orange-Nassau - en 1870

Mariage d'Henri d'Orange-Nassau avec Marie-Élisabeth de Prusse

Henri d'Orange-Nassau est veuf d'Amélie Maria da Gloria d'Augusta de Saxe-Weimar-Eisenach.

Henri d'Orange-Nassau épouse à Potsdam le 24 août 1878 Marie-Élisabeth de Prusse (1855-1888), fille de Frédéric Charles de Prusse et de Marie-Anne d'Anhalt-Dessau.



Mort d'Henri d'Orange-Nassau

Henri d'Orange-Nassau meurt au château de Walferdange au nord de Luxembourg-ville le 14 janvier 1879 de la rougeole.


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