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Événements contenant la ou les locutions cherchées



24 événements affichés, le premier en 1526 - le dernier en 1732



Mariage de Jean-Frédéric Ier de Saxe avec Sybille de Clèves

Jean-Frédéric Ier de Saxe épouse en 1526 Sybille de Clèves (morte en 1554), fille de Jean III de Clèves et Marie de Juliers de Gulik. Leurs enfants sont :



Naissance de Jean-Guillaume de Saxe-Weimar

Johann Wilhelm ou Jean-Guillaume de Saxe-Weimar naît à Torgau le 11 mars 1530, fils de Jean-Frédéric Ier de Saxe et de Sybille de Clèves.



Mariage de Frédéric III du Palatinat avec Marie de Brandebourg-Kulmbach

Frédéric III du Palatinat épouse à Kreuznach en Allemagne le 21 octobre 1537 Marie de Brandebourg-Kulmbach (1519-1567), fille de Casimir de Brandebourg-Kulmbach et de Suzanne II de Bavière. Leurs enfants sont :


Jean-Guillaume de Saxe-Weimar Jean-Frédéric II de Saxe Jean-Frédéric III de Saxe-Gotha à droite - avec ses frères ainés Jean-Frédéric II de Saxe et Jean-Guillaume de Saxe-Weimar

Mort de Jean-Frédéric Ier de Saxe

Jean-Frédéric II de Saxe Duc de Saxe-Cobourg-Eisenach

Jean-Guillaume de Saxe-Weimar devient Duc de Saxe-Weimar

Jean-Frédéric III de Saxe-Gotha devient Duc de Saxe-Gotha

Jean-Frédéric Ier de Saxe meurt à Weimar le 3 mars 1554.

Il est un des grands protecteurs de Luther.

Les fils de Jean-Frédéric Ier de Saxe se partagent le duché paternel :

Jean-Frédéric III de Saxe-Gotha est encore mineur, Ses possessions sont mises sous l'administration de Jean-Frédéric II de Saxe, son frère.


Dorothée-Suzanne de Simmern

Mariage de Jean-Guillaume de Saxe-Weimar avec Dorothée-Suzanne de Simmern

Johann Wilhelm, Herzog von Sachsen Weimar, dont

Jean-Guillaume de Saxe-Weimar (1530-1573) épouse à Heidelberg le 15 juin 1560 Dorothée-Suzanne de Simmern, fille de Frédéric III du Palatinat et de Marie de Brandebourg-Kulmbach. Leurs enfants sont :

Après leur mariage, le couple vivra la plupart du temps à Weimar.



Naissance de Frédéric-Guillaume Ier de Saxe-Weimar

Frédéric Wilhelm ou Frédéric-Guillaume Ier de Saxe-Weimar naît à Weimar le 25 avril 1562, fils de Jean-Guillaume de Saxe-Weimar et de Dorothée-Suzanne de Simmern.



Mort de Jean-Frédéric III de Saxe-Gotha

Jean-Frédéric III de Saxe-Gotha meurt à Iéna le 21 octobre 1565 célibataire et sans enfants.

Il est inhumé dans l'église de la cité de Weimar.

Jean-Frédéric II de Saxe et Jean-Guillaume de Saxe-Weimar, ses frères, se répartissent ses possessions.



Wilhelm von Grumbach Proscrit

Jean-Frédéric II de Saxe Proscrit

En 1566, Jean-Frédéric II de Saxe cherche à récupérer son rang d'électeur de Saxe.

Jean-Frédéric II de Saxe s'allie au chevalier Wilhelm von Grumbach qui proscrit, s'est réfugié après de lui.

La diète d'Augsbourg somme Jean-Frédéric II de Saxe de livrer Wilhelm von Grumbach le 12 août 1566.

Devant son refus, Jean-Frédéric II de Saxe est lui même proscrit en décembre 1566.

Ses biens reviennent à Jean-Guillaume de Saxe-Weimar, qui rassemble ainsi l'intégralité du duché de Saxe.



Naissance de Jean II de Saxe-Weimar

Jean II de Saxe-Weimar naît à Weimar le 22 mai 1570, fils de Jean-Guillaume de Saxe-Weimar, Duc de Saxe-Weimar, et de Dorothée-Suzanne du Palatinat.

Il appartient à la branche Ernestine issue de la première branche de la Maison de Wettin,


Jean-Ernest de Saxe-Eisenach

Division d'Erfurt

En 1572 a lieu la division d'Erfurt entre Jean-Guillaume de Saxe-Weimar et les fils de Jean-Frédéric II de Saxe :


Frédéric-Guillaume Ier de Saxe-Weimar

Mort de Jean-Guillaume de Saxe-Weimar

Frédéric-Guillaume Ier de Saxe-Weimar Duc de Saxe-Weimar

Mort de Jean-Guillaume de Saxe-Weimar

Jean-Guillaume de Saxe-Weimar meurt à Weimar le 2 mars 1573.

Frédéric-Guillaume Ier de Saxe-Weimar, son fils, lui succède et devient Duc de Saxe-Weimar en 1573.

La régence est exercée par Auguste Ier de Saxe jusqu'à sa majorité.


Château Rouge à Weimar

Construit du Château Rouge à Weimar

De 1574 à 1576, le Château Rouge à Weimar est construit comme résidence de Dorothée-Suzanne de Simmern.

Son portail Renaissance est décoré des armes de Jean-Guillaume de Saxe-Weimar et de Dorothée-Suzanne de Simmern.



Mariage de Frédéric-Guillaume Ier de Saxe-Weimar avec Sophie de Wurtemberg

Frédéric-Guillaume Ier de Saxe-Weimar épouse le 5 mai 1583 Sophie de Wurtemberg, fille de Christophe de Wurtemberg et de Anne-Marie de Brandebourg. Leurs enfants sont :



Mariage de Frédéric-Guillaume Ier de Saxe-Weimar avec Anne Marie du Palatinat-Neuburg

Frédéric-Guillaume Ier de Saxe-Weimar est veuf de Sophie de Wurtemberg.

Frédéric-Guillaume Ier de Saxe-Weimar épouse le 9 septembre 1591 Anne Marie du Palatinat-Neuburg, fille de Philippe-Louis de Wittelsbach et d'Anne de Clèves. Leurs enfants sont :


Jean II de Saxe-Weimar

Mort de Frédéric-Guillaume Ier de Saxe-Weimar

Jean II de Saxe-Weimar

Frédéric-Guillaume Ier de Saxe-Weimar meurt à Weimar le 7 juillet 1602.

Jean II de Saxe-Weimar, son frère cadet, devient Duc de Saxe-Weimar.

Frédéric-Guillaume Ier de Saxe-Weimar laisse 4 fils en bas âge :

Christian II de Saxe prend seul la direction de l'Électorat de Saxe.



Partage de la Saxe-Weimar

En 1603, un partage est effectué :



Jean-Philippe de Saxe-Weimar Duc de Saxe-Altenbourg

En 1618, Jean-Philippe de Saxe-Weimar atteint sa majorité et devient duc de Saxe-Altenbourg.

renoncent à l'héritage moyennant versement d'une rente viagère d'abord temporaire.



Versement d'une rente définitive

À partir de 1624, la rente versée à :

devient définitive.



Mariage de Guillaume Ier de Saxe-Weimar avec Éléonore d'Anhalt-Dessau

Guillaume Ier de Saxe-Weimar épouse le 23 mai 1625 Éléonore d'Anhalt-Dessau (16 février 1602-26 décembre 1664), fille du Prince Jean-Georges Ier d'Anhalt-Dessau. Leurs enfants sont :


Bataille de Breitenfeld

Bataille de Breitenfeld

Rappel de Wallenstein

En septembre 1631, Jean-Georges Ier de Saxe, électeur de Saxe, hésite encore à se joindre aux suédois.

Magdebourg ne pouvant plus offrir d'abri ni de vivres, Tilly et son armée se dirigent vers la Thuringe ravage la Saxe.

Leipzig est menacée du même sort que Magdebourg.

C'est à Duban que les Saxons joignent leurs forces à l'armée de Gustave II Adolphe de Suède et les troupes se précipitent au secours de Leipzig, située à 80 kilomètres plus au sud.

À l'aube du 17 septembre 1631, catholiques et protestants se font face dans la plaine au nord-est de Breitenfeld, au nord de Leipzig.

Tilly dispose ses 40.000 hommes à la manière espagnole, le long d'une colline.

Depuis le début du XVIe siècle, l'Europe a adopté les méthodes espagnoles.

Le tercio est une formation massive composée autour d'un groupe central d'hommes munis d'armes blanches avec sur les quatre coins, des mousquetaires disposés en carrés.

Comprenant de 1.500 à 3.000 hommes, le tercio se déplace avec lenteur au cours des batailles.

La cavalerie n'est pas en reste avec la tactique de la caracole que les Espagnols ont apprise des Maures : au lieu de charger à l'épée, les cavaliers avancent au trot, sur 10 rangs, et utilisent le pistolet.

Le coup tiré, le cavalier revient en arrière pour recharger et retourne ensuite à la charge...

Les Protestants sont aux ordres du roi de Suède Gustave II Adolphe de Suède et de Jean-Georges Ier Électeur de Saxe.

Gustaf Karlsson Horn commande le flanc gauche.

Johan Banér commande l'aile droite de la cavalerie suédoise.

Gustave II Adolphe de Suède adopte un dispositif novateur.

Au centre, il place 4 brigades d'infanterie soutenues, en deuxième échelon, par 2 autres brigades et un régiment de cavalerie.

Trois brigades et deux régiments de cavalerie sont en réserve.

Sur la droite se trouvent 3 régiments de cavalerie et 2 sections de mousquetaires ainsi que deux régiments de réserve.

A gauche se trouve le contingent saxon.

Grâce aux nouvelles technologies, les mousquets sont allégés et peuvent dorénavant être maniés sans le trépied.

Le lent processus de chargement est simplifié par l'adoption de cartouches en papier contenant la poudre et la balle.

Chaque régiment d'infanterie est doté d'une artillerie légère.

L'artillerie lourde est placée au centre, légèrement en avant des formations.

La mobilité suédoise est le résultat d'un entraînement poussé et d'une discipline de fer.

L'armée est organisée en petites unités, dotées d'un armement léger, contrairement aux régiments catholiques vêtus de lourdes cuirasses.

Franz Freiherr von Mercy participe à cette bataille.

Egon de Fürstenberg participe à cette bataille.

Frédéric-Guillaume II de Saxe-Altenbourg, sous les ordres de Jean-Guillaume de Saxe-Weimar, son frère, participe à cette bataille.

Lennart Torstenson contribue de façon décisive à la victoire.

La bataille débute par un duel d'artillerie qui dura 2 heures et 1/2.

La puissance de feu suédoise se révèle supérieure à celle de la Sainte-Ligue.

Le flanc gauche catholique se trouve pris sous un tel déluge que le comte Pappenheim, qui le commande, décide de charger à la tête de ses 5.000 cavaliers sans attendre les ordres de Tilly.

Sept assauts sont lancés mais sont repoussés par les mousquetaires de Gustave II Adolphe de Suède.

Les Impériaux finissent par fuir le champ de bataille.

Les cavaliers du flanc droit chargent également sans en avoir reçu l'ordre; ils se précipitent sur les Saxons qui prennent directement la fuite, laissant le flanc gauche de Gustave II Adolphe de Suède largement ouvert.

Tilly fait exécuter à son infanterie lourde une lente manœuvre destinée à tourner le flanc gauche suédois.

Mais les Suédois disposent de petites unités très mobiles.

Gustave II Adolphe de Suède ordonne aux troupes de son aile gauche, de même qu'à ses réserves, principalement constituées par la cavalerie, de faire face à l'ennemi.

Les suédois reconstituent rapidement leurs positions sur leur gauche et soumettent l'ennemi à un feu nourri.

La capacité des Suédois à former un nouveau front sur le flanc ouvert par la fuite des Saxons s'avéra le facteur décisif.

Gustave II Adolphe de Suède ordonne à la cavalerie de son flanc droit, qui n'est plus menacé, de charger le flanc gauche ennemi.

Au même instant, l'artillerie suédoise déclenchent des tirs meurtriers sur l'infanterie catholique.

Les soldats de Tilly tentent de résister mais leurs formations ne tardent pas à se défaire et ils prennent la fuite poursuivis par la cavalerie suédoise menée par Gustave II Adolphe de Suède en personne.

La Ligue catholique perd 13.000 hommes et les Suédois environ 3.000.

Puis les suédois se dirigent vers le sud de l'Allemagne jusqu'en Danube, combattant à plusieurs reprises l'armée impériale reconstituée.

Les pays sillonnés sont dévastés semant partout ruine et désolation, malgré les recommandations de Gustave II Adolphe de Suède qui se veut clément et magnanime.

Les Suédois atteignant la Franconie, l'Alsace, les pays rhénans, se dirigent vers Munich.

Ferdinand II de Habsbourg ne peut que rappeler Wallenstein.

Celui-ci accepte de recruter et diriger une nouvelle armée mais à des conditions exorbitantes qui le font discuter à pied d'égalité avec l'empereur.



Mariage de Jean-Ernest III de Saxe-Weimar avec Sophie-Augusta d'Anhalt-Zerbst

Jean-Ernest III de Saxe-Weimar épouse le 11 octobre 1685 Sophie-Augusta d'Anhalt-Zerbst (9 mars 1663-14 septembre 1694), fille de Jean VI d'Anhalt-Zerbst.

Leurs enfants sont :



Mariage d'Ernest-Auguste Ier de Saxe-Weimar-Eisenach avec Éléonore-Wilhelmine d'Anhalt-Köthen

Ernest-Auguste Ier de Saxe-Weimar-Eisenach épouse le 24 janvier 1716 Éléonore-Wilhelmine d'Anhalt-Köthen, fille d'Emmanuel-Lebrecht d'Anhalt-Köthen. Leurs enfants sont :



Naissance de Jean-Guillaume de Saxe-Weimar-Eisenach

Jean-Guillaume de Saxe-Weimar-Eisenach naît le 10 janvier 1719, fils d'Ernest-Auguste Ier de Saxe-Weimar-Eisenach et d'Éléonore-Wilhelmine d'Anhalt-Köthen.



Mort de Jean-Guillaume de Saxe-Weimar-Eisenach

Jean-Guillaume de Saxe-Weimar-Eisenach meurt le 6 décembre 1732.

Après la mort de ce fils et héritier, Ernest-Auguste Ier de Saxe-Weimar-Eisenach se résout à se remarier.


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