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Événements contenant la ou les locutions cherchées



22 événements affichés, le premier en 1711 - le dernier en 1794



Naissance de Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg

Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg naît à Vienne le 2 février 1711. Il est issu d'une vieille famille noble de Bohême (remontant à 1284).



Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg au service de la maison d'Autriche

Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg entre au service de la maison d'Autriche en 1735.



Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg Ministre plénipotentiaire à Turin

Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg devient Ministre plénipotentiaire à Turin en 1741.



Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg Ministre plénipotentiaire aux Pays-Bas autrichiens

En remplacement du comte de Königsegg-Erps, Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg devient Ministre plénipotentiaire aux Pays-Bas autrichiens d'octobre 1744 à juin 1746.



Mort de Marie-Anne de Habsbourg

Marie-Anne de Habsbourg meurt en décembre 1744.

Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg se retrouve alors pratiquement à la tête du gouvernement général des Pays-Bas.



Conquête du Pays-Bas autrichiens

Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg quitte Bruxelles en raison de l'invasion française en juillet 1745.

Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg gagne alors Anvers, puis Aix-la-Chapelle avec le reste du gouvernement bruxellois.



Charles de Batthyany Ministre plénipotentiaire aux Pays-Bas autrichiens

En juin 1746, Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg obtient son remplacement à Bruxelles par le comte Charles de Batthyany, pour raison de santé.


Plan du Château de Torcy-en-Brie en 1770 Plan du Château de Torcy-en-Brie en 1788

Construction du château de Torcy-en-Brie

Le château de Torcy-en-Brie est construit en 1748 par Gaspard-Hyacinthe de Caze, le fermier général, protégé et allié des Colbert.

Le château, en réalité une très belle demeure entourée de magnifiques jardins à la française.

Le domaine se situe à peu près au milieu de l'actuelle rue de Bellevue.

Il est limité :

soit une superficie d'environ 38 hectares.

Aujourd'hui, quelques noms de rues évoquent ce château : rue de la faisanderie, rue de l'orangerie, rue de la garenne, rues des écuries – actuelle rue du cèdre.

Il reste de ce patrimoine :

La vue qui domine la vallée de la Marne y est selon certains visiteurs, admirable.

Les Caze, grâce à leur richesse, sont de véritables mécènes.

Marie Henriette de Watelet, Madame Caze, réputée pour sa beauté, attire à Torcy Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg, ambassadeur d'Autriche, amateur de jolies femmes.

La belle sœur du châtelain, la Marquise de Calvison a, en ces lieux et à demeure, une chambre particulière.

Elle aurait été, pendant un temps, maîtresse de Louis XV.


Philippe Ier de Parme Duc de Parme

Second traité d'Aix-la-Chapelle

Philippe Ier de Parme Duc de Parme, de Plaisance et de Guastalla

Un congrès se réunit à Aix-la-Chapelle à partir du 24 avril 1748 et mène les négociations pour terminer la guerre de Succession d'Autriche.

Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg est négociateur.

Les préliminaires sont signés à Aix-la-Chapelle le 30 avril 1748.

Le Traité d'Aix-la-Chapelle est signé le 18 octobre 1748.

La France et la Grande-Bretagne sont les principales puissances qui influencent les négociations du traité, les autres puissances impliquées suivant leurs décisions.

Les termes du second traité d'Aix-la-Chapelle sont :

Ce traité termine notamment la guerre de l'oreille de Jenkins, lancée sur un prétexte dérisoire par le lobby impérialo-mercantile britannique, guerre qui entraîna d'énormes pertes matérielles et humaines (29 000 morts au moins).

Finalement, la gouaille populaire britannique sous-entendit qu'ils n'avaient pas gagné dans cette affaire plus que la valeur d'un petit bout de cartilage.

Ce traité rétablit le statu quo ante bellum entre les empires espagnols et anglais.

À Guastalla la dynastie des Gonzagues, s'est éteinte.

Les duchés parmesans des Farnèse et de Guastalla sont inféodés au Saint-Empire sous la tutelle de la France et de l'Espagne.

Philippe Ier de Parme, demi-frère de Ferdinand VI d'Espagne et gendre de Louis XV, devient Duc de Parme, de Plaisance et de Guastalla.

Dans la lutte commerciale entre la Grande-Bretagne et la France dans les Indes occidentales, en Afrique et en Inde rien n'est réglé.

Le traité n'établit pas une paix stable.

Au rétablissement de la paix en 1748, Charles Théodore de Bavière ne s'occupe que du bien-être de ses sujets.



Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg Ambassadeur à Versailles

Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg est ambassadeur à Versailles de 1750 à 1753.

Inquiet des progrès de la Prusse, Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg prépare l'alliance franco-autrichienne de 1756.


Wenzel Anton von Kaunitz

Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg chancelier de cour et d'État des Habsbourg

Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg est appelé par Marie-Thérèse Walburge Amélie Christine de Habsbourg au poste de chancelier de cour et d'État des Habsbourg, qu'il occupera de 1753 à 1792.

Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg confie au Comte Daun :

Farouchement anticlérical, partisan du despotisme éclairé, Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg amorce sous Marie-Thérèse Walburge Amélie Christine de Habsbourg une politique de réformes.



Suppression du Conseil suprême des Pays-Bas autrichiens

Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg supprime en 1757 le Conseil suprême des Pays-Bas autrichiens (à Vienne) et fait passer les affaires de ces provinces sous l'autorité directe du chancelier de cour et d'État.



Création du Conseil d'État autrichien

Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg est à l'origine de la création du Conseil d'État qu'il dirige à partir de 1761.



Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg Prince

Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg devient Prince en 1764.



Louis René Édouard de Rohan-Guémené à Vienne

Louis René Édouard de Rohan-Guémené gagne son poste à Vienne en 1772.

Louis René Édouard de Rohan-Guémené scandalise par son luxe et ses légèretés (apparentes) Marie-Thérèse Walburge Amélie Christine de Habsbourg.

Par contre, Louis René Édouard de Rohan-Guémené s'entend parfaitement avec Joseph II d'Autriche, son fils, et Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg.

Louis René Édouard de Rohan-Guémené découvre le complot mené par la Russie, la Prusse et l'Autriche qui consiste à dépecer la Pologne en 3 morceaux.

La lettre secrète, destinée à Louis XV, et dévoilant la duplicité de Marie-Thérèse Walburge Amélie Christine de Habsbourg, est détournée et remise par Emmanuel-Armand de Vignerot, à Jeanne Bécu à qui il doit sa nomination.

Celle-ci la lit en public à un diner, comme si elle lui était adressée personnellement.

Marie-Antoinette d'Autriche est tout de suite informée du commentaire porté par Louis René Édouard de Rohan-Guémené sur Marie-Thérèse Walburge Amélie Christine de Habsbourg, sa mère.

Marie-Antoinette d'Autriche lui reprochera ensuite toute sa vie.



Mort de Marie-Thérèse Walburge Amélie Christine de Habsbourg

Joseph II d'Autriche Roi de Hongrie

Marie-Thérèse Walburge Amélie Christine de Habsbourg meurt à Vienne le 29 novembre 1780.

Durant son règne, elle entreprit diverses réformes centralisatrices, notamment grâce à l'aide de son chancelier, Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg.

Elle fut aussi une adepte du mercantilisme.

Joseph II d'Autriche hérite des possessions héréditaires des Habsbourg.

Joseph II d'Autriche succède à sa mère comme roi de Hongrie, titre qu'elle a conservé.

Empereur élu du Saint-Empire, Joseph II d'Autriche est à titre héréditaire le souverain des États qui composent les Pays-Bas belgiques :

Despote éclairé, Joseph II d'Autriche tente de leur imposer de nombreuses réformes centralisatrices et laïques, mais sans passer par la procédure habituelle : la consultation des États provinciaux.

Ferdinand Charles Antoine de Habsbourg-Lorraine et Marie-Béatrice Richarde d'Este-Modène s'installent au palais royal de Milan où naissent leurs enfants.



Mesures de sécularisation en Autriche

Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg approuve les mesures de sécularisation prises par Joseph II d'Autriche à partir de 1781.



Réformes administratives en Autriche

Bien qu'ayant beaucoup d'influence sur Joseph II d'Autriche, Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg ne peut le freiner lorsqu'il se lance en 1787 dans ses grandes réformes administratives que le chancelier juge dangereuses.


Léopold II d'Autriche Ferdinand III de Toscane

Mort de Joseph II d'Autriche

Léopold II d'Autriche Empereur germanique

Léopold II d'Autriche Roi de Hongrie

Léopold II d'Autriche Roi de Bohême

Léopold II d'Autriche Grand-Duc d'Autriche

Ferdinand III de Toscane Grand-duc de Toscane

Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg maintenu Chancelier de cour et d'État des Habsbourg

Joseph II d'Autriche meurt à Vienne le 20 février 1790, dans la tristesse, sans postérité, totalement incompris.

Léopold II d'Autriche est élu empereur le 30 septembre 1790.

Il est couronné empereur des Romains à Francfort-sur-le-Main le 9 octobre 1790

Mozart compose le Concerto du Couronnement : concerto pour piano no 26 en ré majeur K. 537.

Armand-Emmanuel-Sophie-Septimanie de Vignerot se rend à Francfort pour assister au couronnement de Léopold II d'Autriche.

Armand-Emmanuel-Sophie-Septimanie de Vignerot suit Léopold II d'Autriche à Vienne.

Léopold II d'Autriche est couronné Roi de Hongrie à Bratislava le 15 novembre 1790.

Léopold II d'Autriche devient Roi de Bohême

Léopold II d'Autriche devient Grand-Duc d'Autriche sous le nom de Léopold XII.

Ferdinand III de Toscane succède à Léopold II d'Autriche, son père, et devient Grand-duc de Toscane en 1790.

Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg est maintenu à son poste de chancelier de cour et d'État des Habsbourg par Léopold II.


François Ier d'Autriche

Mort de Léopold II d'Autriche

François Ier d'Autriche Roi des Romains

François Ier d'Autriche Archiduc d'Autriche

François Ier d'Autriche Roi de Hongrie

François Ier d'Autriche Roi de Bohême

Léopold II d'Autriche meurt à Vienne le 1er mars 1792 soudainement.

François Ier d'Autriche est couronné Roi de Hongrie à Buda le 6 juin 1792.

François Ier d'Autriche devient le dernier Roi des Romains le 7 juin 1792 sous le nom de François II. Il le restera jusqu'en 1806.

François Ier d'Autriche devient Archiduc souverain d'Autriche et est couronné à Francfort-sur-le-Main le 14 juillet 1792.

François Ier d'Autriche est couronné Roi de Bohême le 5 août 1792.

Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg est démis par François Ier d'Autriche en août 1792.



Prise de Catillon-sur-Sambre

Siège de Landrecies

Combat de Villers-en-Cauchies

Au printemps 1794, les armées de la coalition :

font face aux armées françaises du général Jean-Charles Pichegru.

Les Français entrent en campagne en mars 1794,

Les chefs militaires de la Coalition approuvent le plan de campagne à La Haye au début d'avril.

La prise de la forteresse de Landrecies est un objectif clé.

Cette opération militaire est menée ;

La forteresse de Landrecies est tenue par une garnison des troupes de la Première République française sous commandement d'Henri Victor Roulland.

Au début avril 1794, les forces de la coalition du théâtre d'opérations flamand sont prêtes à lancer leur offensive.

En 1794, Frédéric-François-Xavier de Hohenzollern-Hechingen participe aux sièges de Landrecies.

Le 17 avril 1794, les Alliés attaquent sur un très large front.

L'armée mobile néerlandaise atteint le glacis de la forteresse de Cambrai le soir du 17 avril 1794.

Les colonnes du prince de Hesse-Darmstadt et du major-général Adam Frans Jules Armand van der Duyn prennent Catillon-sur-Sambre, près de Landrecies, ce soir-là.

L'armée mobile néerlandaise (environ 16 000 hommes) est renforcée avec de l'infanterie autrichienne et des auxiliaires sous le commandement du major-général Baillet Latour et de l'artillerie autrichienne sous le général Kollowrat (environ 4 000 hommes au total).

Le 18 avril 1794, ce corps quitte son camp près de Cambrai et marche sur Landrecies.

Le 19 avril 1794 est consacré à la préparation.

Le 20 avril 1794, 3 colonnes se lancent à l'assaut de la forteresse de Landrecies.

Deux colonnes passent par Fontaine-au-Bois et la Forêt de Mormal vers la Sambre, où elles prennent les villages de Hapegarde et Etoguis, et le camp armé de Preux-au-Bois, à portée des canons de la forteresse.

Les Gardes suisses de la brigade du comte De Gumoëns et la brigade de Hesse-Darmstadt se distinguent dans ce combat.

La colonne centrale envahit les redoutes et demi-lunes de la forteresse extérieure.

La garnison de la forteresse est contrainte de se retirer à l'intérieur de ses murs.

Les pertes néerlandaises sont pour la journée de 23 officiers et 358 hommes de troupe.

L'armée mobile commence immédiatement à investir la forteresse.

Les travaux commencent sur une ligne d'ouvrages de campagne en face de la forteresse, avec ses points de terminaison sur la Sambre, pour couper la forteresse de l'accès par voie terrestre.

Deux batteries sont placées sur les principales voies d'approche de la ville, et le travail sur un second système de tranchées parallèles est préparé.

Guillaume Ier des Pays-Bas fait du château de Bousies son quartier général.

Les auxiliaires autrichiens (Hongrois, Serbes et Croates), destinés à faire le travail de défrichage pour les retranchements, construisent un camp dans la forêt de Mormal.

Après le 20 avril 1794, les préparatifs pour le bombardement prévu progressent lentement car l'armée mobile doit fournir des troupes pour les opérations des autres forces de la coalition qui s'assurent qu'aucune force de secours ne pourra venir débloquer la forteresse.

8 000 hommes quittent le siège pour le seul 22 avril 1794.

Les forces de la coalition brisent une tentative de secours au combat de Villers-en-Cauchies.

Des sorties de la garnison gênent également les travaux d'investigation.

Le 26 avril 1794, Guillaume V d'Orange-Nassau, capitaine général de l'armée des États, effectue une visite au camp des assiégeants.

Au cours de cette visite, Guillaume Ier des Pays-Bas ordonne une démonstration de l'artillerie, bien que tous les canons ne soient pas encore en place.

Le stathouder est tellement impressionné qu'il décide de rester pour le reste du bombardement, et de faire un peu de "tourisme de siège.

Les emplacements de canons sont achevés le 28 avril 1794.

Onze batteries avec un total de 48 canons (allant de 3 livres à 24 livres) et 18 mortiers (allant de 30 à 60 livres) sont en place.

Ces canons tirent environ 14 000 projectiles pendant les 3 jours du bombardement, qui commence le 28 avril 1794.

La dévastation de la forteresse et la ville est immense.

À peine une maison reste intacte.

Le front de l'attaque a été nivelé.

Environ 2 000 personnes, militaires et civils, sont tuées.

Mais les civils prennent part à la défense, organisés comme artilleurs bourgeois et ils résistent épaule contre épaule avec les bataillons de la Meuse et Moselle qui forment la garnison.

Leurs femmes soignent les blessés et secourent les mourants.

Malgré les lourdes pertes, Henri Victor Roulland refuse d'abord les demandes répétées de se rendre, peut-être parce que les Français ont lancé le 27 avril 1794une dernière tentative désespérée pour soulager la forteresse, mais cette tentative échoue.

Le bombardement exerce son influence sur le moral des troupes.

Le 29 avril 1794, un ordre de sortie est refusé et Henri Victor Roulland convoque un conseil de guerre.

Ce conseil lui demande d'envisager une reddition.

La pression du Conseil ne cesse d'augmenter et Henri Victor Roulland cède le 30 avril 1794.

Il demande un cessez-le-feu aux Alliés.

Celui-ci lui est immédiatement accordé, et est suivi par des négociations prolongées sur les termes de la capitulation.

Les négociations sont menées par le quartier-maître général néerlandais Bentinck et le major-général autrichien Karl Freiherr Mack pour la coalition, et Henri Victor Roulland du côté français.

Elles conduisent à une capitulation avec les honneurs de la garnison française le 30 avril 1794.

La garnison est réduite à 5 000 hommes qui sont envoyés comme prisonniers de guerre dans les Provinces-Unies.

La forteresse est alors occupée par les régiments de gardes suisses et néerlandais.

Le 31 avril 1794, François Ier d'Autriche et Guillaume V d'Orange-Nassau passent en revue les troupes françaises vaincues défilant.

Guillaume V d'Orange-Nassau remet les clés de Landrecies à François Ier d'Autriche à cette occasion.

Après la chute de Landrecies les Autrichiens ne bougent pas pendant 11 jours.

Le 12 mai 1794, les opérations des forces combinées austro-néerlandaises reprennent près du Cateau-Cambrésis.

Une occasion d'isoler Jean-Charles Pichegru est cependant gâchée, en raison des hésitations de François Ier d'Autriche.

Lorsque Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg le déçoit par sa conduite hésitante, François Ier d'Autriche le remplace par Guillaume V d'Orange-Nassau en mai 1794, donnant le commandement au Prince de toutes les forces néerlandaises et autrichiennes près de la Sambre.

Les Français reprennent Landrecies le 17 juillet 1794 après un bref siège.

Sylvain Charles de Valée participe à ces combats.



Mort de Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg

Wenzel Anton von Kaunitz-Rietberg meurt à Vienne le 27 juin 1794.


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